EINE NATIONALE KONVENTION JETZT DOCH ENDLICH MÖGLICH? – Le président p.i. Dioncounda Traoré serait d’accord pour le principe : Une concertation nationale avant le gouvernement d’union nationale

Dioncounda soll prinzipiell einverstanden sein: Eine nationale Konsultation vor der Regierung der nationalen Einheit
Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 10. August 2012.
Laut einer Koalition – bestehend aus CSM, IBK-Mali 2012, den Kräften für die Vereinbarkeit von Demokratie und Frieden-Mali ko, der COPAM, der ARM / RSC, der FMR – hat sich der Interimspräsident der Republik, Dioncounda Traore, auf Drängen der Gründerfamilien von Bamako, endlich der Logik der nationalen Konsultation vor der Zusammensetzung der Regierung der nationalen Einheit geöffnet. Diese Entscheidung soll am Mittwoch, dem 8. August 2012 erfolgt sein.

DEUTSCH (VON MIR ETWAS VERBESSERTE GOOGLE-ÜBERSETZUNG) WEITER UNTER DEM ORIGINAL

Dioncounda serait d’accord pour le principe : Une concertation nationale avant le gouvernement d’union nationale
Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 10 août 2012.
Par Abdoulaye Diakité
Selon une coalition – composée de la CSM, IBK-Mali 2012, Forces pour la réconciliation la démocratie et la paix-Mali ko, la Copam, l’ARM/RSC, le FMR –le président de la République par intérim, Pr. Dioncounda Traoré, sur insistance des familles fondatrices de Bamako, s’est finalement inscrit dans la logique de la concertation nationale avant la composition du gouvernement d’union nationale. Cette décision serait intervenue le mercredi 8 août 2012.
Les leaders de cette coalition que sont : Me Mountaga Tall de la Convergence pour sauver le Mali (CSM), Bocar Moussa Diarra de L’Indicateur du Renouveau, Hamadoun Amion Guindo de la Coordination des organisations patriotiques du Mali (Copam), Adama Traoré du MP 22, étaient hier face à la presse à la Maison de la presse pour rendre publique une déclaration. Dans ladite déclaration, la coalition réaffirme son attachement à la constitution de la République du Mali du 25 février 1992, à l’accord-cadre du 6 avril 2012 et aux décisions et avis de la Cour constitutionnelle du Mali qui doivent être respectés par tous ; prend acte des propositions formulées par le président de la République par intérim dans son message à la nation du 31 juillet 2012 ; constate cependant que le président de la République par intérim ne peut mettre en application les propositions qu’il a formulées sans la validation des forces vives de la nation dans le cadre d’une concertation nationale ; rappelle qu’il revient au Premier ministre la prérogative constitutionnelle de former le gouvernement d’union nationale équilibré et inclusif etc.
Est-ce à dire qu’il revient au Premier ministre actuel Cheick Modibo Diarra de former ce nouveau gouvernement ? Pour la coalition, ce n’est pas une question de personne, mais d’institution. « Le président de la République fait des propositions, leur mise en œuvre relève d’un autre niveau. C’est l’affaire du gouvernement. Et il faut une concertation nationale pour corriger ce qui est à corriger, légitimer ce qui est à légitimer et discuter de la composition du gouvernement d’union nationale et de sa feuille de route. Sous le mandat d’Alpha Oumar Konaré, la conférence nationale a été organisée par Ibrahim Boubacar Kieta, parce qu’il était le premier ministre. Cheick Modibo Diarra n’est pas notre As, notre As c’est le Mali », ont expliqué les conférenciers avant d’ajouter que le gouvernement a déjà élaboré les termes de référence de la concertation nationale et que le Premier ministre, Cheick Modibo Diarra, l’avait même fixée dans un premier temps aux 26 et 27 juillet derniers avant de la reporter aux 4 et 5 août pour ensuite la renvoyer aux 11 et 12 août prochain. Mais les conférenciers doutent que cette 3e échéance ne soit respectée vu le temps qui nous reste.
Quoiqu’il en soit, les conférenciers se disent rassurés que la concertation nationale se tiendra et que les familles fondatrices de Bamako, notamment les Niaré ont confirmé que Dioncounda Traoré s’est inscrit dans cette dynamique.
Mais à propos de quoi, le président de la République par intérim a fait les récentes consultations de forces vives de la nation ? Pour Me Tall, « il n’a jamais été question d’un gouvernement. Le président voulait écouter tout le monde, toutes les propositions, avant de commencer son travail ». Quid de l’ultimatum de la Cédéao qui avait donné 10 jours supplémentaires au président de la République par intérim pour former le gouvernement d’union nationale ? Les conférenciers n’en font pas un souci, car disent-ils, c’est aux Maliens de décider de la donne.
© 2012 L’Indicateur du Renouveau

Dioncounda soll prinzipiell einverstanden sein: Eine nationale Konsultation vor der Regierung der nationalen Einheit
 Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 10. August 2012.
Von Abdoulaye Diakité
Laut einer Koalition – bestehend aus CSM, IBK-Mali 2012, den Kräften für die Vereinbarkeit von Demokratie und Frieden-Mali ko, der COPAM, der ARM / RSC, der FMR – hat sich der Interimspräsident der Republik, Dioncounda Traore, auf Drängen der Gründerfamilien von Bamako, endlich der Logik der nationalen Konsultation vor der Zusammensetzung der Regierung der nationalen Einheit geöffnet. Diese Entscheidung soll am Mittwoch, dem 8. August 2012 erfolgt sein.
Die Führer dieser Koalition sind: Maître Mountaga Tall für die Konvergenz um Mali zu retten (CSM), Bocar Moussa Diarra für IBK-Mali 2012, Hamadoun Amion Guindo für die Koordinierung der patriotischen Organisationen in Mali (COPAM), Adama Traoré für MP 22, trafen sich gestern vor der Presse im Maison de la Presse, um eine Erklärung abzugeben. In dieser Erklärung bekräftigt die Koalition ihr Festhalten an der Verfassung der Republik Mali vom 25. Februar 1992, das Rahmenabkommen vom 6. April 2012 und die Entscheidungen und Stellungnahmen des Verfassungsgerichts von Mali, die von allen respektiert werden müssen; nimmt die Vorschläge des Interimspräsidenten in seiner Botschaft an die Nation am 31. Juli 2012 zur Kenntnis; stellt jedoch fest, dass der Interimspräsident seine Vorschläge ohne Validierung Kräfte der Nation durch einen nationalen Dialog nicht umsetzen kann; erinnert daran, dass der Ministerpräsident die verfassungsrechtliche Befugnis hat, eine ausgewogene und umfassende Regierung der nationalen Einheit zu bilden.
– WEITERE KORREKTUR DER AUTOMATISCHEN ÜBERSETZUNG FOLGT BALD –
Heißt das, dass es der derzeitige Ministerpräsident Cheick Modibo Diarra ist es, diese neue Regierung zu bilden? Für die Koalition, es ist nicht eine Frage der Persönlichkeit, sondern eine Institution. „Der Präsident gibt Vorschläge, ist ihre Umsetzung bis zu einer anderen Ebene. Dies ist das Geschäft der Regierung. Und wir brauchen einen nationalen Dialog zu korrigieren, was richtig ist, zu legitimieren, was legitim und besprechen die Zusammensetzung der Regierung der nationalen Einheit und ihren Fahrplan. Unter dem Mandat von Alpha Oumar Konare, wurde die nationale Konferenz von Ibrahim Boubacar Kieta organisiert, weil er der Ministerpräsident war. Cheick Modibo Diarra ist nicht unser Ass, Ass unsere Mali ist „, erklärte der Sprecher und fügte hinzu, dass die Regierung hat bereits Mandat des nationalen Dialogs und des Premierministers, Cheick Modibo Diarra vorbereitet , hatte den gleichen Satz zunächst auf 26 und 27. Juli, bevor diese auf die 4. und 5. August finden und dann schicken Sie es an 11. und 12. August. Aber die Sprecher sind skeptisch, dass diese dritte Amtszeit in Sicht die verbleibende Zeit wird beobachtet.
Wie auch immer, sagten die Redner sie versichert, dass die nationale Konsultation stattfinden wird und dass die Gründerfamilien von Bamako, einschließlich Niaré bestätigt, dass Dioncounda Traore Teil dieser Dynamik war.
Aber was ist mit dem Präsidenten ai gemacht jüngsten Besuchen in Kräfte der Nation? To Me Tall, „gab es nie eine Frage nach einer Regierung. Der Präsident wollte für alle, alle Vorschläge, vor Beginn seiner Arbeit hören. “ Was ist mit dem Ultimatum der ECOWAS, der 10 zusätzliche Tage, um den Präsidenten der Republik gegeben hatte, um die Übergangsregierung der nationalen Einheit zu bilden? Die Lautsprecher sind nicht dabei ein Anliegen, wie sie sagen, es ist die Malier, um das Spiel zu entscheiden.
© 2012 L’Indicateur du Renouveau

Ein Gedanke zu „EINE NATIONALE KONVENTION JETZT DOCH ENDLICH MÖGLICH? – Le président p.i. Dioncounda Traoré serait d’accord pour le principe : Une concertation nationale avant le gouvernement d’union nationale

  1. Nouveau rebondissement dans la crise politico-institutionnelle au Mali : Plusieurs regroupements exigent des assises nationales avant la formation du Gouvernement d’union nationale
    Bamako (L’Indépendant) – 10 août 2012.
    (publie la déclaration inextenso)
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