2. Bilaterale Zusammenarbeit: Der deutsche Verteidigungsminister in Koulouba
Aujourd’hui-Mali – 20.04.2023
Oberst Assimi Goïta, Präsident der Transition und Staatschef, hat dem deutschen Verteidigungsminister Boris Pistorius am Freitag, den 14. April 2023, eine Audienz gewährt.
Er wurde von seiner Kollegin aus dem Ministerium für Zusammenarbeit, Wirtschaft und Entwicklung, Svenja Schulze, begleitet. Ziel des Besuchs war es, sich über die Zukunft der Zusammenarbeit zwischen Mali und Deutschland auszutauschen.
0. Pistorius und Schulze besuchen Minusma-Stützpunkt
Deutschlandfunk – 13.04.2023
Bundesverteidigungsminister Pistorius und Entwicklungsministerin Schulze sind am zweiten Tag ihrer Sahel-Reise im Norden Malis eingetroffen.
1c. Schulze: „Deutschland bleibt in Mali präsent“
Deutsche Welle – 13.04.2023
Die Sicherheitslage in Mali wird sich nach dem Abzug der Bundeswehr keinesfalls verbessern. Doch die Bundesentwicklungsministerin will ihre Arbeit dort fortsetzen.
1a. Entwicklungszusammenarbeit: Deutschland scheidet aus der MINUSMA aus, wird aber seine Hilfe für Mali fortsetzen
Journal du Mali – 15.04.2023 um 14:31
Mit rund 1400 Soldaten ist Deutschland der größte Beitragszahler der EU im Rahmen der UN-Stabilisierungs-Mission MINUSMA (Blauhelme). Seit der Ankunft der Russen in Mali ist Berlin jedoch der Ansicht, dass die Bedingungen für eine weitere Beteiligung an der MINUSMA nicht mehr gegeben sind.
1b. Minusma: Das größte westliche Kontingent zieht sich zurück
Le Jalon – 15. April 2023
Von Maliki Diallo
Der Rückzug Deutschlands aus der Minusma nimmt immer konkretere Formen an. Bei einem Arbeitsbesuch in Mali informierte der Bundesverteidigungsminister Boris Pistorius seinen malischen Amtskollegen, dass er „sehr bald den Plan für den Rückzug“ seines Landes aus der UN-Mission „vorstellen“ werde.
DEUTSCH WEITER (#1a,#1b,#2 IN VON MIR ETWAS VERBESSERTER DEEPL-ÜBERSETZUNG) UNTER DEN FRZ. ORIGINALEN
2. Coopération bilatérale : Le ministre allemand de la Défense à Koulouba
Aujourd’hui-Mali – 20 Avr 2023
Le colonel Assimi Goïta, président de la Transition, chef de l’Etat, a accordé vendredi 14 avril 2023, une audience à Boris Pistorius, ministre de la Défense de la République fédérale d’Allemagne. Il était accompagné par son collègue de la Coopération, de l’Economie et du Développement, Svenja Schulze. L’objectif de cette visite était d’échanger sur l’avenir de la coopération entre le Mali et l’Allemagne.
La situation que la Mali traverse, les élections, la lutte contre le terrorisme, et l’avenir de la coopération entre le Mali et l’Allemagne, particulièrement, la coopération civile et militaire, étaient au menu des échanges au cours de cette audience. Le Ministre Boris Pistorius a indiqué la convergence des vues entre l’Allemagne et le Mali sur la plupart sujets abordés. “Nous avons toujours accompagné le Mali dans sa lutte contre le terrorisme. Nous l’avons fait avec la participation de nos Forces armées au sein de la Minusma”, a souligné Boris Pistorius, qui réitère le retrait de leurs forces armées de cette organisation onusienne, l’année prochaine.
Cette audience a été l’occasion d’échanger sur les raisons de ce retrait. Selon ses précisions, “la mission ne peut plus s’accomplir comme prévue. La coopération entre le Mali et l’Allemagne se poursuivra donc sous d’autres volets, comme la formation militaire et le maintien des conseillers militaires allemands au Mali“, a expliqué l’hôte du jour du président de la Transition. Il soulignera également la volonté des deux pays d’approfondir leur coopération bilatérale civile. Ce qui explique la présence de Mme la ministre du Développement, dans la délégation ministérielle allemande, en visite au Mali. En plus de la sécurité militaire au Mali, il s’agira également, à travers cette coopération, d’améliorer les conditions de vie de la population malienne, a conclu le ministre de la Défense, Boris Pistorius.
Le ministre Boris Pistorius s’est dit très ravi d’être reçu par le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta. À cette audience, il faut noter la présence de monsieur le ministre de la Défense et des Anciens combattants, le colonel Sadio Camara.
© 2023 maliweb.net / aa.com.tr/fr
1b. Minusma : le plus gros contingent occidental se retire
Le Jalon – 15 avril 2023
Par Maliki Diallo
Le retrait de l’Allemagne de la Minusma se précise. En visite de travail au Mali, Borris Pistorius, le ministre fédéral de la Défense a informé son homologue du Mali qu’il va « présenter très bientôt le plan de retrait » de son pays de la mission onusienne.

Foto (c) Kai Nietfeld: Des soldates de la Bundeswehr au camp Castor près de Gao, en 2022 – Bundeswehrsoldatinnen im Feldlager Camp Castor nahe der Stadt Gao, im Sommer 2022
Le retrait annoncé de l’Allemagne de la mission de paix de l’ONU au Mali est désormais officiel. Il a été notifié ce vendredi 14 avril 2023 aux autorités maliennes par Borris Pistorius.
En visite au Mali les 13 et 14 avril, le ministre de la Défense de l’Allemagne s’est entretenu ce vendredi avec le colonel Sadio Camara, le ministre de la Défense du Mali. Selon, la Direction de l’information et des relation publique des armées (Dirpa), cette rencontre a été une occasion pour les deux personnalités d’échanger sur, entre autres, le retrait des Forces Armées allemandes de la Minusma et de la situation sécuritaire au Mali depuis 10 ans.
« Nous allons retirer nos forces de la Minusma, mais ceci ne signifie pas la fin de la coopération dans l’ensemble. C’est un chapitre de la coopération qui sera clos. Nous allons très bientôt présenter notre plan de retrait », a indiqué Borris Pistorius à sa sortie d’audience.
Cette décision de la première puissance économique de l’Union européenne est justifiée notamment par les difficultés liées au survol de l’espace aérien malien.
« L’interdiction du survol de l’espace aérien malien avait sérieusement entravé la bonne marche des opérations. Nous voulons vraiment continuer à travailler afin d’améliorer la situation sécuritaire dans la région. La situation est difficile, mais nous avons de la franchise et de la clarté pour pouvoir continuer la coopération à l’avenir », a-t-il confié au service de communication des armées du Mali.
– Le plus gros contingent occidental –
Si Borris Pistorius n’a pas dévoilé le plan de retrait à son homologue malien, il a donné des indications lors de sa visite à Gao où le contingent l’Allemand est déployé.
« On ne parle pas du déménagement d’une famille de cinq personnes avec un camion. C’est une opération logistique militaire qu’on n’arrange pas comme ça et qui nécessite les neuf à douze prochains mois en fonction des circonstances », a-t-il déclaré chez nos confrères de la VOA.
L’Allemagne dispose le plus gros contingent occidental au Mali avec un effectif 665 personnes dont 52 femmes, selon le dernier Rapport du secrétaire général d’ONU sur la situation au Mali. En plus des hommes pour le maintien de la paix, la contribution financière de l’Allemagne pour les projets de développement est de taille. En 2018 par exemple, elle a cofinancé la réhabilitation de la piste de l’aéroport de Gao qui a coûté à 12 millions d’euros Fonds fiduciaire en soutien à la paix et la sécurité au Mali. En 2016, le soutien de la République fédérale d’Allemagne à ce Fonds était de 8,5 millions d’Euros.
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1a. Coopération : l’Allemagne quitte la MINUSMA mais maintiendra son aide au Mali
Journal du Mali – 15.04.2023 à 14h31
Avec quelque 1400 soldats, l’Allemagne est la plus importante contributrice de l’Union européenne au sein de la MINUSMA. Mais depuis l’arrivée des russes au Mali, Berlin considère que les conditions ne sont plus réunies pour continuer à participer à la MINUSMA. En visite à Bamako jeudi et hier vendredi, son ministre de la défense affirme pourtant que l’Allemagne ne veut pas claquer la porte. « Le Président de la transition a dit que non seulement il appréciait énormément l’engagement de l’Allemagne ici, mais aussi la manière dont cet engagement a eu lieu dans le pays, c’est-à-dire sur un pied d’égalité et entre partenaires. Ceci nous confirme dans notre travail, dans notre coopération et nous allons continuer cette coopération avec le pays », a assuré le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius. Tablé sur neuf à douze mois pour le retrait de ses soldats de la MINUSMA, le Ministre précise qu’avec le Mali, les ponts ne sont pas entièrement rompus dans le domaine militaire, mais aussi à l’aide au développement. « Vous savez que nous retirerons nos forces armées de la MINUSMA l’année prochaine. Nous avons parlé des raisons pour ce retrait, mais de toute façon, une coopération, nous voulons la continuer sous une autre forme. Nous pensons à la formation militaire et nous aurons toujours des conseillers militaires sur place, et nous voulons continuer notre échange », a t-il ajouté.
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2. Bilaterale Zusammenarbeit: Der deutsche Verteidigungsminister in Koulouba
Aujourd’hui-Mali – 20.04.2023
Oberst Assimi Goïta, Präsident der Transition und Staatschef, hat dem deutschen Verteidigungsminister Boris Pistorius am Freitag, den 14. April 2023, eine Audienz gewährt.
Er wurde von seiner Kollegin aus dem Ministerium für Zusammenarbeit, Wirtschaft und Entwicklung, Svenja Schulze, begleitet. Ziel des Besuchs war es, sich über die Zukunft der Zusammenarbeit zwischen Mali und Deutschland auszutauschen.
Die Situation in Mali, die Wahlen, der Kampf gegen den Terrorismus und die Zukunft der Zusammenarbeit zwischen Mali und Deutschland, insbesondere die zivile und militärische Zusammenarbeit, waren Gegenstand des Austauschs während dieser Audienz. Minister Boris Pistorius wies darauf hin, dass Deutschland und Mali bei den meisten der angesprochenen Themen ähnliche Ansichten vertreten. „Wir haben Mali immer im Kampf gegen den Terrorismus begleitet. Wir haben dies mit der Beteiligung unserer Streitkräfte an der Minusma getan“, unterstrich er, …
Diese Audienz bot die Gelegenheit, sich über die Gründe für den Rückzug auszutauschen. Nach seinen Ausführungen „kann die Mission nicht mehr wie geplant durchgeführt werden. Die Zusammenarbeit zwischen Mali und Deutschland wird daher unter anderen Aspekten fortgesetzt, wie der militärischen Ausbildung und dem weiteren Einsatz deutscher Militärberater in Mali“, erläuterte der Gast des Übergangspräsidenten. Er betonte auch den Willen der beiden Länder, ihre bilaterale zivile Zusammenarbeit zu vertiefen. Dies erklärt die Anwesenheit der Entwicklungsministerin in der deutschen Ministerdelegation, die Mali besucht. Neben der militärischen Sicherheit in Mali werde es durch diese Zusammenarbeit auch darum gehen, die Lebensbedingungen der malischen Bevölkerung zu verbessern, schloss Pistorius.
Er sei sehr erfreut, vom Präsidenten des Übergangs, Oberst Assimi Goïta, empfangen worden zu sein, sagte er. Bei der Audienz war auch der Minister für Verteidigung und Kriegsveteranen, Oberst Sadio Camara, anwesend.
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0. Pistorius und Schulze besuchen Minusma-Stützpunkt
Deutschlandfunk – 13.04.2023
Bundesverteidigungsminister Pistorius und Entwicklungsministerin Schulze sind am zweiten Tag ihrer Sahel-Reise im Norden Malis eingetroffen.

Foto (c) Michael Kappeler/dpa: Le ministre de la défense Pistorius et la ministre de la coopération Schulze en visite à Gao – Verteidigungsminister Pistorius und Entwicklungsministerin Schulze in Gao, Mali.
Dort besuchen sie die deutschen Soldaten am Stützpunkt der UNO-Mission Minusma. Mehr als 1.100 Männer und Frauen der Bundeswehr sind in Mali stationiert. Die deutsche Beteiligung an dem Einsatz soll bis Mai kommenden Jahres beendet werden. Zuletzt hatte es immer wieder Auseinandersetzungen mit der in Mali regierenden Militärjunta gegeben.
Pistorius und Schulz hatten gestern in Niger zugesagt, sich auch nach dem Abzug aus Mali in der Region zu engagieren. Der Schwerpunkt des militärischen Engagements werde dabei in Niger liegen.
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1c. Schulze: „Deutschland bleibt in Mali präsent“
Deutsche Welle – 13.04.2023
Die Sicherheitslage in Mali wird sich nach dem Abzug der Bundeswehr keinesfalls verbessern. Doch die Bundesentwicklungsministerin will ihre Arbeit dort fortsetzen.
Die deutschen Soldatinnen und Soldaten werden nach dem Willen der Bundesregierung im kommenden Jahr aus Mali abziehen. Die Entwicklungshilfe soll aber bleiben. Es sei möglich, auch unter schlechteren Sicherheitsbedingungen zu arbeiten, sagte Bundesentwicklungsministerin Svenja Schulze im DW-Interview: „Wir können mit unserer Entwicklungsarbeit weitermachen, weil wir hier in diese Gesellschaft eingebettet sind. Wir sind seit Jahren hier und wir können weiterhin für die Ernährungssicherheit, für die Wasserversorgung, für die Strukturen hier arbeiten. Das ist immer noch möglich und das werden wir auch weiterhin tun.„

Foto (c) dpa/Michael Kappeler: Le ministre de la Défense, Boris Pistorius, et la ministre de la coopération, Svenja Schulze, visitent un entrepôt (de céréales) du Programme Alimentaire Mondial des Nations Unies. – Verteidigungsminister Boris Pistorius und Bundesentwicklungsministerin Svenja Schulze besuchen ein Lagerhaus (Getreide) des UN Welternährungsprogramms
Der Wohlfahrtsverband Caritas begrüßt diese Ankündigung. „Wir nehmen die Ministerin beim Wort, mit dem Engagement nicht nachzulassen“, erklärte Caritas-Länderreferent Philipp Lang. Die humanitäre Situation in Mali verschlechtere sich zusehends, „sowohl was die Ernährungssituation der Menschen als auch was die Binnenvertreibung angeht, diese reißt nicht ab“. Eine Einstellung der deutschen Hilfen würde die Lage weiter verschärfen und destabilisieren, warnte Mali-Experte Lang.
„Der Einsatz ist nicht gescheitert“
Das Ende des Bundeswehreinsatzes geht auf die wachsenden Spannungen mit der malischen Militärregierung zurück. Verteidigungsminister Boris Pistorius sagte, der Abzug solle schrittweise bis Mai 2024 erfolgen. „Ich bedaure sehr, dass der Einsatz jetzt auf diese Art und Weise ein Ende findet.“
Pistorius räumte in Gao ein, dass die Situation in Mali nicht besser geworden sei, wollte den Bundeswehreinsatz aber dennoch nicht für gescheitert erklären. „Nicht der Einsatz ist gescheitert, sondern die Bedingungen haben den Einsatz scheitern lassen“, sagte der SPD-Politiker. Nun gehe es darum, den geordneten Abbau und Rückbau des Camps vorzubereiten. Etwa 1600 Seecontainer werden benötigt, um Material und Waffen zurück nach Deutschland zu bringen, wie Logistiker der Bundeswehr ausgerechnet haben.
© 2023 dw.com
1a. Entwicklungszusammenarbeit: Deutschland scheidet aus der MINUSMA aus, wird aber seine Hilfe für Mali fortsetzen
Journal du Mali – 15.04.2023 um 14:31
Mit rund 1400 Soldaten ist Deutschland der größte Beitragszahler der EU im Rahmen der UN-Stabilisierungs-Mission MINUSMA (Blauhelme). Seit der Ankunft der Russen in Mali ist Berlin jedoch der Ansicht, dass die Bedingungen für eine weitere Beteiligung an der MINUSMA nicht mehr gegeben sind. Der deutsche Verteidigungsminister, der am Donnerstag und am gestrigen Freitag Bamako besuchte, sagte jedoch, dass Deutschland die Tür nicht zuschlagen wolle. „Der Übergangspräsident hat gesagt, dass er nicht nur das deutsche Engagement hier enorm schätzt, sondern auch die Art und Weise, wie dieses Engagement im Land stattgefunden hat, nämlich auf Augenhöhe und zwischen Partnern. Das bestätigt uns in unserer Arbeit, in unserer Zusammenarbeit und wir werden diese Zusammenarbeit mit dem Land fortsetzen“, versicherte Verteidigungsminister Boris Pistorius. Pistorius rechnet mit neun bis zwölf Monaten für den Abzug seiner Soldaten aus der MINUSMA und betont, dass die Brücken zu Mali im militärischen Bereich, aber auch in der Entwicklungszusammenarbeit nicht vollständig abgebrochen seien. „Sie wissen, dass wir unsere Streitkräfte im nächsten Jahr aus der MINUSMA abziehen werden. Wir haben über die Gründe für diesen Rückzug gesprochen, aber auf jeden Fall wollen wir eine Zusammenarbeit in einer anderen Form fortsetzen. Wir denken an die militärische Ausbildung und wir werden immer noch Militärberater vor Ort haben, und wir wollen unseren Austausch fortsetzen“, fügte er hinzu.
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1b. Minusma: Das größte westliche Kontingent zieht sich zurück
Le Jalon – 15. April 2023
Von Maliki Diallo
Der Rückzug Deutschlands aus der Minusma nimmt immer konkretere Formen an. Bei einem Arbeitsbesuch in Mali informierte der Bundesverteidigungsminister Boris Pistorius seinen malischen Amtskollegen, dass er „sehr bald den Plan für den Rückzug“ seines Landes aus der UN-Mission „vorstellen“ werde.
Der angekündigte Rückzug Deutschlands aus der UN-Friedensmission in Mali ist nun offiziell.
Während seines Besuchs in Mali am 13. und 14. April traf der deutsche Verteidigungsminister am Freitag mit Oberst Sadio Camara, seinem malischen Amtskollegen, zu einem Gespräch zusammen. Laut der Abteilung für Information und Öffentlichkeitsarbeit der Streitkräfte (Dirpa) war dieses Treffen eine Gelegenheit für die beiden Persönlichkeiten, sich unter anderem über den Rückzug der deutschen Streitkräfte aus der Minusma und die Sicherheitslage in Mali in den letzten zehn Jahren auszutauschen.
„Wir werden unsere Streitkräfte aus der Minusma abziehen, aber das bedeutet nicht das Ende der Zusammenarbeit insgesamt. Es ist nur ein Kapitel der Zusammenarbeit, das abgeschlossen wird. Wir werden sehr bald unseren Abzugsplan vorlegen“, sagte Boris Pistorius, als er aus der Sitzung kam.
Diese Entscheidung der größten Wirtschaftsmacht der Europäischen Union wird insbesondere mit den Schwierigkeiten im Zusammenhang mit dem Überflug des malischen Luftraums begründet.
„Das Verbot des Überflugs des malischen Luftraums hatte den reibungslosen Ablauf der Operationen ernsthaft behindert. Wir wollen wirklich weiter daran arbeiten, die Sicherheitslage in der Region zu verbessern. Die Situation ist schwierig, aber wir sind offen und klar, um die Zusammenarbeit auch in Zukunft fortsetzen zu können“, sagte er dem Kommunikationsdienst der malischen Armee.
– Das größte westliche Kontingent –
Auch wenn Pistorius seinem malischen Amtskollegen den Abzugsplan nicht offenlegte, gab er bei seinem Besuch in Gao, wo das deutsche Kontingent stationiert ist, einige Hinweise.
„Wir reden hier nicht über den Umzug einer fünfköpfigen Familie mit einem Lastwagen. Das ist eine militärlogistische Operation, die man nicht einfach so arrangiert und die je nach den Gegebenheiten die nächsten neun bis zwölf Monate benötigt“, sagte er gegenüber unseren Kollegen von der VOA (Voice of Africa).
Deutschland stellt mit 665 Personen, darunter 52 Frauen, das größte westliche Kontingent in Mali, wie aus dem letzten Bericht des UN-Generalsekretärs über die Lage in Mali hervorgeht. Neben den Soldat*innen für die Friedenssicherung ist auch der finanzielle Beitrag Deutschlands für Entwicklungsprojekte beachtlich. Im Jahr 2018 hat es beispielsweise die Sanierung der Start- und Landebahn des Flughafens von Gao aus einem Treuhandfonds zur Unterstützung von Frieden und Sicherheit in Mali mitgetragen, die 12 Millionen Euro gekostet hat. Im Jahr 2016 betrug die Unterstützung der Bundesrepublik Deutschland für diesen Fonds 8,5 Millionen Euro.
© 2023 lejalon.com
Der Blockeintrag über den Besuch der beiden deutschen Minister in Mali enthält 3 unterschiedliche Artikel aus der Lokalpresse, wodurch einige Wiederholungen unvermeidbar sind. Es war aber interessant zu merken, dass der Verteidigungsminister anscheinend mehr Eindruck gemacht hat als die Ministerin für „Kooperation“, die erst im #2 zum Zuge kommt.
Zur Zusammenfassung der folgende Beitrag der DW:
Mali und Niger: Wie es mit Bundeswehr und deutscher Hilfe weitergeht
Deutsche Welle – 14.04.2023
Von Katharina Kroll
Verteidigungsminister Boris Pistorius und Entwicklungsministerin Svenja Schulze besuchten Niger und Mali. Deutschland hat hier neue Pläne – auch wegen Russland.
Die Sicherheitsmaßnahmen sind hochgefahren, als die beiden Minister Svenja Schulze, Entwicklung, und Boris Pistorius, Verteidigung, aus Deutschland in Camp Castor ankommen. Es ist das Feldlager der Bundeswehr in Gao, im unsicheren Norden Malis. Verteidigungsminister Pistorius und Entwicklungsministerin Schulze reisen zum ersten Mal gemeinsam– und sie wollen sich ein Bild machen über den gefährlichsten Einsatz deutscher Soldaten. Ihre Botschaft: Ohne Sicherheit ist Entwicklung nicht möglich. Und ohne Entwicklung macht Sicherheit keinen Sinn.
Und dennoch: Geht es nach dem Willen der Bundesregierung wird im Mai 2024 Schluss hier sein – für die Bundeswehr in Mali. Und das Camp Castor mit seinen vielen Containern und Geräten soll bis dahin komplett abgebaut werden.
Mali ist der Brennpunkt des islamistischen Terrors in der Sahelzone. Von hier aus breiten sich lokale Ableger des sogenannten Islamischen Staates und Al-Kaidas immer weiter aus. Die Dschihadisten bringen für die Zivilbevölkerung unvorstellbare Gewalt und ein Klima ständiger Angst. Die Folge sind Zehntausende von Flüchtlingen, Hunger und Leid – in Mali und in der gesamten Region.
Mitten in diesem Pulverfass hat die Bundeswehr den Auftrag, die Zivilbevölkerung zu schützen, das Land zu stabilisieren und für Sicherheit zu sorgen. Sie ist Teil der UN-Blauhelm Mission Minusma. 1100 deutsche Soldaten sind in Mali und in Niger stationiert. Doch schon seit Monaten kann die Bundeswehr diesen Auftrag nicht mehr erfüllen. Die Gründe sind vielfältig. „Die Bedingungen haben diesen Einsatz scheitern lassen“, sagt Verteidigungsminister Pistorius. „Ich bedaure sehr, dass dieser Einsatz jetzt auf diese Art und Weise ein Ende findet.“ Denn: Die Sicherheitslage in Mali sei nicht besser geworden.
Vor 10 Jahren noch hatte die Regierung Malis den Westen gebeten, ins Land zu kommen und für Frieden zu sorgen. Doch nach zwei Militärputschen in den letzten zwei Jahren hat sich vieles verändert. Der neue Machthaber, der 40-jährige Präsident Assimi Goita, setzt mit seiner Militärjunta auf einen neuen Partner. Und das ist ausgerechnet Russland.
Goita geht immer mehr auf Distanz zum Westen. Und hat stattdessen Kämpfer der berüchtigten russischen Söldnergruppe Wagner ins Land geholt. Statt mehr Sicherheit gibt es nun brutale Menschenrechtsverletzungen in Mali.
Gleichzeitig torpediert die Regierung in Bamako die Arbeit der Deutschen immer wieder. Verbietet Aufklärungsflüge mit Drohnen, verbietet Patrouillen in einigen Gebieten. „Das ist weder die Schuld der deutschen Politik und erst recht kein Verschulden der Bundeswehr, der Soldatinnen und Soldaten“, so Pistorius.
Mali zählt zu den ärmsten Ländern der Welt. Die meisten der rund 23 Millionen Menschen leben auf dem Land. Es sind viele Krisen, denen die Menschen hier ausgesetzt sind. Und alle hängen zusammen: Sicherheitskrise, Klimakrise, Flüchtlingskrise, Hungerkrise, Jobkrise. Mittlerweile sind 8,8 Millionen Menschen in Mali auf humanitäre Hilfe angewiesen.
Die Dschihadisten haben also leichtes Spiel, wenn sie bei den jungen Männern um neue Kämpfer werben. Denn oft sind sie die Einzigen, die diesen eine Perspektive bieten. Auch deshalb sendet Entwicklungsministerin Svenja Schulze die klare Botschaft: „Wir werden mit der Entwicklungszusammenarbeit hier weiter vor Ort sein.“ Auch wenn die Soldaten gehen, die Helfer bleiben. „Wir haben die Mittel, wie wir auch unter schwierigen Sicherheitsbedingungen arbeiten können“, sagt Schulze.
So wie die Welthungerhilfe. Auch die will bleiben, wenn die Bundeswehr abzieht. Die Nichtregierungsorganisation arbeitet mit einem Team von rund 150 lokalen und internationalen Helfern und Helferinnen auch in den gefährlichen Landesteilen Malis. „Wir arbeiten seit mehr als 50 Jahren in Mali. Unsere Arbeit hängt nicht von der Präsenz deutscher Truppen in einer UN-Mission ab“, sagt der Vorstandsvorsitzende der Welthungerhilfe, Mathias Mogge. Nothilfe leisten und langfristige Perspektiven bieten – darum gehe es bei der Arbeit.
Die Sahelzone gilt als eine der wichtigsten Regionen für die Sicherheit Europas und auch Deutschlands. Die Ausbreitung des islamistischen Terrors und auch die Migration haben Auswirkungen weit über die Region hinaus. Auch will der Westen nicht Russland und China das Feld überlassen, die im Sahel ebenfalls um Einfluss kämpfen. Und deshalb wird Deutschland in der Region präsent bleiben. Und hat bereits einen neuen Partner ausgemacht: Niger.
– Niger neuer Stabilitätsanker –
„Wenn die jungen Menschen bei uns keine Arbeit haben, dann werden sie von den Terroristen abgeworben“, sagt Souley Salamata. Sie ist Bürgermeisterin in der Gemeinde Kollo in der Region Tillabéri. In Niger. Jetzt steht sie zusammen mit anderen Bürgermeisterinnen und Regionalräten im großen Gemeinschaftsraum des Luftstützpunktes der Bundeswehr in Nigers Hauptstadt Niamey. Entwicklungsministerin Svenja Schulze will aus erster Hand hören, was die Menschen in Niger brauchen. Will besprechen, wie Unterstützung aus Deutschland am besten gelingen könne. Ihre Gesprächspartner sind aus allen Landesteilen Nigers angereist.
„Sicherheit bedeutet mehr als militärische Sicherheit“, sagt Schulze nach dem Treffen. Wie in Mali verspricht sie auch hier weitere Unterstützung in der Landwirtschaft, bei der Bildung. „Wir müssen den Menschen Perspektiven aufzeigen, um den Terroristen den Nährboden zu entziehen“, so Schulze. Die Probleme in Niger sind denen von Mali sehr ähnlich.
(…)
„Die Füße werden nie dahingehen, wo das Herz nicht ist“, dieses Sprichwort aus Niger gibt ein Regionalrat der Ministerin aus Deutschland mit auf den Weg. Niger – der neue Partner, den die Besucher aus Deutschland als neuen Stabilitätsanker in der Sahelregion stärken wollen.
© 2023 dw.com
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Nochmal lesen / À RELIRE:
AMINATA DRAMANE TRAORÉ, GLOBALISIERUNGSKRITIKERIN, HAT SICH ZUR LAGE IN MALI GEÄUSSERT – Interview de l’altermondialiste Aminata Dramane Traoré qui explique la souveraineté du Mali
in MALI-INFORMATIONEN 13.03.2023
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Ein Nachtrag mit den Reportagen der taz-Redakteurin Anna Lehmann, die dabei war:
Entwicklung schaffen ohne Waffen
GAO (die tageszeitung) – 13.04.2023 17:25
Deutschland zieht die Bundeswehr aus Mali ab, obwohl kein Frieden herrscht. Die Entwicklungszusammenarbeit soll bleiben. Kann das klappen?
Mit hartem Ruck landet der Truppentransporter A400M auf der Piste und bremst voll ab. Sechs Soldaten mit Schutzwesten und Gewehren springen auf und sichern das Gelände. Aus dem Militärflugzeug steigen ein Mann im olivgrünen Hemd und eine Frau im blauen Blazer in Malis roten Staub: Boris Pistorius und Svenja Schulze.
Der Verteidigungsminister ist auf Antrittsbesuch, Entwicklungsministerin Schulze war schon häufiger hier, ist aber das erste Mal auf einem Militärstützpunkt. Sie besuchen die Bundeswehr in Gao. Die gemeinsame Reise soll signalisieren: Die Bundeswehr zieht aus Mali ab, doch über Entwicklungsprojekte bleibt Deutschland vor Ort.
Deutschland seit 2013 bei UN-Mission dabei
…Weiterlesen
…Also hat das Entwicklungsministerium die – weibliche – Zivilbevölkerung ins Camp [Castor] geladen. Acht Frauen und ein Mann sind gekommen.
Feministische Außenpolitik weniger weltfern als gedacht
Die Frauen führen landwirtschaftliche Kooperativen und Vereine, sie berichten von Unsicherheit durch Banden, die Vieh stehlen, von Nahrungsmittelknappheit, fehlenden Rechten für Frauen, die das Land zwar bearbeiten, aber nicht erben dürfen. „Wir Frauen sind der Motor der Entwicklung, aber wir brauchen Unterstützung dafür“, sagt Koumba Maige, Waisenhausgründerin und Vorsitzende der Plattform „Weibliche Führungskräfte in Gao“. Deutschlands Entwicklungshilfe sei großartig und müsse fortgesetzt werden – das ist die Botschaft der Frauen. Die Bundeswehr erwähnen sie nicht.
Wer ihnen zuhört, bekommt eine Ahnung, dass feministische Entwicklungspolitik vielleicht gar nicht so weltfern ist. Pistorius gesellt sich dazu und scheint beeindruckt zu sein. „Svenja und ich sind überzeugt, dass Sicherheit und Entwicklung zwei Seiten einer Medaille sind“, sagt der Verteidigungsminister: Ohne Sicherheit keine Entwicklung, ohne Entwicklung keine Sicherheit. Die Frauen nicken.
Doch der deutsche Entwicklungsetat wird im nächsten Jahr kaum wachsen und nach Mali dürften weniger Gelder fließen. (…)
© 2023 taz.de
Strategiewechsel im Sahel
NIAMEY/BAMAKO/GAO (die tageszeitung) – 15.04.2023 10:55
(…) Der wesentlich größere und schärfer gesicherte deutsche Militärstützpunkt in Gao, wo derzeit 1.100 Soldat:innen stationiert sind, die sich an der UN-Mission Minusma beteiligen, liegt nur eine dreiviertel Flugstunde entfernt. Gerade wird im Camp in Niamey eine neue Abfertigungshalle gebaut, ab Juni sollen über den benachbarten Flughafen Menschen und Material aus Mali ausgeflogen werden.
(…)
Schulzes Botschaft lautet zwar: Wir bleiben, auch nachdem die Bundeswehr abgezogen ist. Doch klar ist bereits: Im Jahr 2021 stellte das Entwicklungsministerium 70 Millionen Euro für die bilaterale Entwicklungszusammenarbeit mit Mali bereit. Im nächsten Haushalt wird für diesen Posten aber eine drastische Kürzung erwartet. Es geht dabei allerdings um große Infrastrukturprojekte, die in Zusammenarbeit mit dem malischen Staat entstehen.
„Im Moment gehen die Sätze für Mali etwas runter und für Niger etwas hoch, weil wir auch Demokratien fördern wollen“, sagt Schulze. Was bedeutet das für Projekte wie das von Tako Sylla, die in Bamako und Umgebung eine Kooperative von Mangoproduzentinnen (die heißt USTAKO Sarl “les mangues du Mali”, Ed.) leitet? „Wir sind 14 Unternehmerinnen, alles Frauen“, berichtet sie. Die Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit unterstützt sie bei der Suche nach Märkten und mit besseren Werkzeugen. „Wir brauchen die deutsche Unterstützung“, sagt sie. „Am besten mehr davon.“
Sich aus solchen autoritär regierten Staaten zurückzuziehen ist keine Option. Das würde bedeuten, China und Russland noch mehr Raum zu geben. Es ist eine Gratwanderung. Eher Suche als Strategie.
© 2023 taz.de
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