OLIVIER DUBOIS DER JOURNALIST IST FREI, UND 3 ANDERE GEISELN MIT IHM – Olivier est libre, et trois autres otages sont libérés aussi

1. Mali: Der französische Journalist Olivier Dubois nach fast zwei Jahren Gefangenschaft frei
AFP – 20.03.2023, 17:11
Er war weltweit die einzige registrierte französische Geisel. Der französische Journalist Olivier Dubois wurde nun nach fast zwei Jahren Gefangenschaft in Mali freigelassen. Der 48-jährige freie Journalist lebte und arbeitete seit 2015 in Mali und berichtete über die Sicherheitskrise, die das Land in der Sahelzone durchlebt.
2. Geiseln aus Frankreich und den USA nach jahrelanger Haft in Freiheit
Der Spiegel – 20.03.2023, 17:53
… Nun gibt es gute Nachrichten aus der Region. Ein französischer Journalist und ein US-amerikanischer Entwicklungshelfer sind nach jahrelanger Geiselhaft freigekommen.

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1. Mali : le journaliste français Olivier Dubois après près de deux ans de captivité est libre
AFP/LRC – 20.03.2023 à 17:11
Par Pierre Desorgues

Foto (c) TV5MONDE: Olivier Dubois, libéré après deux ans de captivité, est enfin libre – Olivier Dubois ist nach 2 Jahren Gefangenschaft endlich frei

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GAO, EIN PULVERFASS – Gao dans la tourmente

2. Region Gao: Unsicherheit beeinträchtigt die Handelsaktivitäten
L’Essor – 23 Nov 2022
Die Unsicherheit und der Zustand der Verkehrsader Gao-Sévaré erschweren den Transport von lokalen Produkten in die Regionen im Norden unseres Landes. Denn von der Region Gao aus versorgen sich die anderen (Ménaka und Kidal) mit lokalen Produkten aus den Regionen im Süden Malis, um dann die anderen Orte in ihren Bezirken zu beliefern.
1. In Gao „begegnet man bewaffneten Männern, ohne zu wissen, wer sie sind“
Libération – 8. Oktober 2021
Olivier Dubois wurde in der historischen Handelsstadt, die am Rande des Flusses und der Wüste liegt, entführt. Die Stadt ist übermilitarisiert und wird eigentlich von niemandem kontrolliert.

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2. Région de Gao : L’insécurité affecte les échanges commerciaux
L’Essor – 23 Nov 2022
L’insécurité et l’état de l’axe Gao-Sévaré compliquent l’acheminement des produits locaux vers les régions, dans le Nord de notre pays. En effet, c’est à partir de la Région de Gao que les autres (Ménaka et Kidal) se ravitaillent en produits locaux venant des régions du Sud du Mali, pour ensuite fournir les autres localités de leurs circonscriptions. Dès que la Région de Gao n’est pas approvisionnée, les autres régions en subissent les contrecoups.
Le marché à bétail de Wabaria, qui accueille des forains de 13 villages, en plus de ceux de la Commune urbaine de Gao et ses communes rurales, se tient chaque mardi. C’est une foire à bétail distante de 15 km de la ville de Gao. Elle est fréquentée par les acheteurs et les vendeurs de bestiaux de toutes les autres communes de la région ainsi que ceux de Bamako, du Niger, du Burkina Faso et d’Algérie. «Même si ce marché hebdomadaire n’a jamais été la cible d’attaques terroristes, l’insécurité et l’état de la route de Gao-Sévaré découragent les acheteurs potentiels à s’y rendre, par peur d’être spoliés ou enlevés par des bandits armés qui sévissent dans la zone», affirme le maire de la Commune rurale de Gounzourèye, Abdoul Kader Maïga.
(…) Les villages d’Emnagul et de Djebock, à 70 km de la Commune urbaine de Gao, ne sont pas épargnés par l’insécurité. Souvent, des hommes armés font irruption sur les sites des foires soit pour collecter la zakat soit pour enlever des personnes. «Ces actes barbares ont beaucoup effrayé certains commerçants, surtout ceux en possession de fortes sommes d’argent», déplore Rhissa Ag Mohamed qui souligne que ces actes ont fortement réduit la fréquentation des foires de la Commune. Il regrette l’absence de l’État dans ces localités, ce qui ne permet pas aux autorités communales de collecter les taxes.
PRODUITS POURRIS – Samedi, jour de foire de la Commune rurale de Sonni Ali Ber. Ce marché est fréquenté par les commerçants des Cercles de Gao et de Bourem. Le maire Abdoul Razack Maïga témoigne de la baisse de sa fréquentation à cause de l’insécurité. «Tous ces commerçants viennent à la foire pour acheter du paddy ou des animaux. évidemment, certains aussi approvisionnent le marché en condiments et légumes», dit M. Maïga. «Depuis la crise de 2012, l’incivisme a gagné du terrain. Aujourd’hui, dans nos communes, les citoyens ne paient plus les impôts. Et ceux qui avaient l’habitude de payer leurs taxes ont épousé le comportement des récalcitrants. Pratiquement, aucun Groupement d’intérêt économique (GIE) de la commune n’est à jour», révèle Abdoul Razack Maïga.
Une autre paire de manches pour les commerçants est de réussir à acheminer leurs produits à destination. Avec la dégradation de l’axe Gao-Sévaré et l’insécurité, quasiment tous les produits qui quittent les régions dans le Sud du pays pourrissent avant même d’arriver à Gao. Il s’agit particulièrement des légumes et des tubercules (pomme terre, igname, oignon, gingembre, tomate, choux, banane plantain). «Avec l’état actuel de la route Gao-Sévaré, nous nous sommes rabattus sur les produits qui viennent de l’Algérie et du Niger. Et, c’est la raison pour laquelle tous les produits sont chers sur le marché», commente Boubacar Traoré, ressortissant de Sikasso et vendeur de condiments sur le marché de Gao.
«Tous les produits qui partent de Sikasso pour Gao se décomposent avant même d’arriver à destination. Cela constitue une grande perte pour nous les revendeurs. Tant que la route Gao-Sévaré n’est pas réparée, aucun produit en provenance des régions du Sud, ne pourra arriver à Gao dans un état propre à la consommation», se plaint notre interlocuteur. Il ajoute qu’avec l’insécurité, certains transporteurs ont tout simplement cessé de fréquenter cet axe.
«Cinq camions-remorques de ma belle-sœur ont été calcinés sur l’axe Gao-Douentza», confie Boubacar Traoré. Hamidou Traoré, revendeur de beurre de karité à la Place de Sikasso à Gao, déplore lui aussi l’état de la route et l’insécurité qui défavorisent le ravitaillement du marché de la Cité des Askia en produits locaux originaires des régions du Sud. Seul point de satisfaction pour le commerçant, en période de froid, son beurre de karité «arrive sans fondre».
© 2022 lessor.ml

Analyse / De l’archive
1. A Gao, «on croise des hommes en armes, sans savoir qui ils sont»
Libération – 8 octobre 2021 à 6h59
Par Célian Macé
Olivier Dubois a été enlevé dans la cité commerçante historique, à la lisière du fleuve et du désert. Surmilitarisée, elle n’est en réalité contrôlée par personne.

Foto (c) Jerome Delay/AP: Un checkpoint de l’armée française à Gao, en février 2013 – Ein Checkpont der französischen Armee in Gao im Februar 2013

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WAS WOLLEN DIE DSCHIHADISTEN NACH DEN TERRORANGRIFFEN AUF ZIELE IN HAUPTSTADTNÄHE? – L’attaque terroriste au camp militaire de Kati et les intentions du GSIM

1. Angriff auf das Militärlager in Kati: Vorläufige Bilanz: Sieben Angreifer ausgeschaltet
Journal du Mali – 22.07.2022 um 08:50 Uhr
Kati erwachte am Freitag, den 22. Juli 2022, durch Schüsse, die am frühen Morgen im Militärlager von Kati zu hören waren.
Laut ersten Informationen auf dem offiziellen Twitter-Account der malischen Streitkräfte haben die FAMa den Terrorangriff auf die Kaserne in Kati um etwa 5 Uhr morgens abgewehrt.
2. Mali: GSIM nimmt nun die Macht in Bamako ins Visier
Journal du Mali – 28.07.2022 um 15:18
Die Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (GSIM = arab. JNIM, Gruppe zur Unterstützung des Islams und der Muslime), behauptet offiziell, dass eine Strategie umgesetzt wird, um die Zentralmacht in Bamako zu treffen.

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1. Mali – Attaque au camp militaire de Kati : bilan provisoire est de sept assaillants neutralisés
Journal du Mali – 22.07.2022 à 08h50
Par Idelette Bissuu
Kati s’est réveillée avec des tirs entendus tôt ce matin au camp militaire de Kati ce vendredi 22 juillet 2022. Ces derniers ont créé la panique au sein des populations.

Foto (c) JdM: L’entrée de la ville de Kati du côté du camp militaire – Der Ortseingang von Kati in Richtung des Militärlagers

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Mon pays va mal … Ogossagou

Mon pays va mal, de mal en mal, le pays va mal…

Mindestens 134 Tote bei Angriff auf Dorf in Mali
dpa – 24. März 2019 09:46
Bei einem bewaffneten Überfall auf ein Dorf in Mali sind nach Angaben der Vereinten Nationen mindestens 134 Menschen getötet worden, darunter viele Frauen und Kinder.
2. Kinder und Alte verbrannt
taz – 24.03.2019
134 Menschen sterben bei einem Überfall auf das Peul-Dorf Ogossagou in Mali. Zur gleichen Zeit findet der Besuch des UN-Sicherheitsrats statt.

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1b. Au Mali, „134 civils tués“, une enquête annoncée
BBC Afrique – 24.03.2019
Le gouvernement malien annonce l’ouverture d’une enquête sur la mort de plus de 100 civils tués samedi dans le centre du pays, afin de „déterminer les circonstances de ces crimes“.

Foto (c) Tuul and Bruno Morandi/Alamy Stock: Peuhl animal herders near Sofara in central Mali, approximately 100km from Ogossogou village where the attack took place. – Peulh-Hirten in der Nähe von Sofara, etwa 100 km entfernt von dem überfallenen Dorf Ogossagou entfernt

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