REISE INS DOGON-LAND ZU DEN JÄGERN, DIE AUF GOTT BAUEN – Voyage en Pays Dogon aux chasseurs qui se confient à Dieu

1. Bandiagara: 8 Gendarmen getötet, 5 weitere bei gleichzeitigen Angriffen verletzt
Le Républicain – 1. März 2021
8 tote Gendarmen, 5 weitere Verwundete, so lautet die Bilanz des gleichzeitigen Angriffs auf den Stützpunkt des Detachements Dialoubé in Bandiagara und auf die Gendarmerieschwadron desselben Ortes, wie die malische Armee mitteilte.
2. Reise im Dogon-Land ins Herz von Dan Na Ambassagou
Le Point – 11.03.2021
REPORTAGE. Die Selbstverteidigungsgruppe ist ein wesentlicher Bestandteil der Sicherheitsgleichung des Dogon-Landes. Sie organisiert sich neu, während sie darauf wartet, dass der Staat seinen vollen Platz wieder einnimmt.
Von Olivier Dubois
Drissa Poudiougou steht gerade wie ein I. Das Gewehr quer über seiner Brust, die Hände an den Seiten, die Schultern gerade, er steht bereit…..Weiter auf der google-Übersetzung der Website

DEUTSCH VON #1 WEITER (IN VON MIR ETWAS VERBESSERTER DEEPL-ÜBERSETZUNG) UNTER DEN FRZ. ORIGINALEN

1. Bandiagara : 8 gendarmes morts, 5 autres blessés dans des attaques simultanées
Le Républicain – 1 Mar 2021
8 gendarmes morts, 5 autres blessés, c’est le bilan de l’attaque simultanée contre la base du détachement de Dialoubé sis à Bandiagara et l’escadron de la gendarmerie de la même localité, selon l’armée malienne.
Des sources indiquent que les assaillants ont pu emporter des équipements militaires.
Le bilan provisoire fait état de neuf (09) gendarmes tués et 9 autres gendarmes ont été blessés, dont certains gravement.

[(AFP) …Une source militaire avait indiqué auparavant qu’il y avait “eu une attaque contre le détachement de la gendarmerie de Bandiagara par les individus armés non identifiés” entre 21H00 et 22H00 jeudi. …
L’attaque a visé un petit bâtiment abritant l’escadron de la gendarmerie à la sortie de la ville, sur la route de Bankass, selon cette source. Un autre responsable sécuritaire a pour sa part évoqué une attaque “simultanée” contre trois positions de la gendarmerie à Bandiagara.
Selon le porte-parole d’un collectif d’associations du pays dogon, Adama Dionko, “les échanges de tirs ont duré parce que les assaillants étaient en nombre important”. Il a aussi évoqué des “dégâts matériels considérables”. (…)
Les groupes armés apparus en 2015 dans le centre du Mali ont prospéré sur les anciens antagonismes liés à la terre, entre éleveurs et agriculteurs et entre ethnies peul, bambara et dogon. Ils attaquent tout ce qui reste de représentation de l’Etat et fomentent ou attisent ces tensions. Des “groupes d’autodéfense” communautaires sont également accusés d’exactions.]
L’attaque qui s’est déroulée  dans la nuit du 25 février 5021 vers 21h, a été revendiquée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou JNIM, selon l’acronyme arabe) (d’Iyad Ag Ghali, ndlr). Dans le centre du Mali, les attaques contre les forces de défense et de sécurité sont devenues récurrentes. Dans son dernier rapport sur la situation au Mali, Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations Unies, a fait savoir qu’au cours du dernier trimestre, les Forces de défense et de sécurité maliennes, les forces internationales, la MINUSMA et les groupes armés signataires ont essuyé 35 attaques asymétriques. « 55 % d’entre elles se sont produites dans le nord du Mali, dont 14 % dans la région de Kidal, 33 % à Tombouctou et 8 % à Gao. » Le centre du Mali a été le théâtre de 45 % des attaques, dont 36 % se sont produites dans la région de Mopti et 9 % dans celle de Ségou. (…)
© 2021 lerepublicainmali

2. Mali : voyage en Pays Dogon au cœur de Dan Na Ambassagou
REPORTAGE. Partie intégrante de l’équation sécuritaire du Pays Dogon, le groupe d’autodéfense se réorganise en attendant que l’État reprenne toute sa place.

Dan Na Ambassagou, groupe d'autodefense au coeur du Pays Dogon, se reorganise en formant ses recrues au combat et en les sensibilisant au droit humanitaire. Ici, Drissa Poudiougou avec le casque de son grand-pere datant de la Premiere Guerre mondiale.

Foto (c) lepoint/Olivier Dubois: Dan Na Ambassagou, groupe d’autodéfense au cœur du Pays Dogon, se réorganise en formant ses recrues au combat et en les sensibilisant au droit humanitaire. Ici, Drissa Poudiougou avec le casque de son grand-père datant de la Première Guerre mondiale. – Dan Na Ambassagou, eine Selbstverteidigungsgruppe im Herzen des Dogonlandes, organisiert sich neu, indem sie ihre Rekruten im Kampf ausbildet und ihr Bewusstsein für das humanitäre Recht schärft. Hier Drissa Poudiougou mit dem Helm seines Großvaters aus dem Ersten Weltkrieg.

LePointAfrique – 11/03/2021 à 08h04
Par Olivier Dubois, correspondant à Bamako
Drissa Poudiougou se tient droit comme un I. Weiterlesen