FRAUEN UND MÄNNER PROTESTIEREN IN BAMAKO GEGEN GESCHLECHTSSPEZIFISCHE GEWALT – Rassemblements à Bamako pour dénoncer la violence basée sur le genre (VBG)

2. Verbände prangern verstärkte häusliche Gewalt an
RFI – 03-01-2018 um 07:59
Die Ermordung einer Telefonistin der Präsidentschaft in der Nacht vom 28. auf den 29. Dezember durch ihren Ehemann löste in Mali heftige Reaktionen aus. Menschenrechtsaktivisten und zivilgesellschaftliche Organisationen prangern eine Zunahme und Verharmlosung häuslicher Gewalt an.
3. Mali: Eine Kundgebung gegen die Gewalt gegen Frauen
RFI – 03.01.2017
Am Dienstag, den 2. Januar, fand eine Kundgebung an der Pyramide du Souvenir in Bamako statt, um die Gewalt in der Ehe anzuprangern. Um das Kollektiv der Amazonen versammelten sich 150 Menschen, um Maßnahmen zum Schutz von Frauen zu fordern.
4. Mali: Ein Sitzstreik von Frauen zerstreut, das Kollektiv der Amazonen ist geschockt.
RFI – 13. Januar 2018
1. Frauenrechte: NGOs unterstützen ein Gesetz gegen Gewalt an Frauen in Mali
Le Républicain – 6. November 2017
Der Verein zur Unterstützung der Entwicklung der Bevölkerungs-Aktivitäten (ASDAP) und Bornefonden trafen Freitag den Rechtsausschuss der Nationalversammlung, um zu erreichen, dass die Parlamentarier*innen sich dafür einsetzen, ein Gesetz gegen geschlechtsbedingte Gewalt (VBG) einschließlich der weiblichen Genitalverstümmelung (FGM) zu verabschieden.

DEUTSCH (VON MIR VERBESSERTE GOOGLE-ÜBERSETZUNG) WEITER UNTER DEM LETZTEN FOTO

VBG
Foto (c) maliweb: Manifestation contre la violence faite aux femmes devant l’Assemblée Nationale à Bamako, le 12 janvier 2018

2. Des associations dénoncent une augmentation des violences conjugales
RFI – 2018-01-03 à 07:59
L’assassinat par son mari d’une standardiste de la présidence dans la nuit du 28 au 29 décembre a déclenché de fortes réactions au Mali. Militants des droits de l’homme et organisations de la société civile dénoncent une augmentation et une banalisation des violences conjugales. Peu de chiffres et d’études existent concernant les violences basées sur le genre. Mais pour les professionnels de la santé et les associations encore trop peu de cas sont signalés.
Près de la moitié des femmes mariées ou en couple ont subi des violences physiques, sexuelles ou émotionnelles de la part de leur conjoint, selon la dernière enquête démographique et de la santé au Mali. Mais pour Fatoumata Harber, enseignante et militante des droits de l’homme, en plus de l’impunité, d’autres causes existent : « La femme est vue dans nos traditions comme juste un souffre-douleur, une femme qui devrait selon le Mougnou ni Sabali accepter de se faire frapper pour le bonheur de ses enfants ».
Pour protéger les femmes victimes dans leur foyer et accompagner la libération de la parole, les associatifs réclament un engagement politique franc. « Il nous faut des lois, des politiques du gouvernement pour vraiment amener les Maliens à aller dans le sens du changement et à lutter contre l’impunité, car le problème au Mali c’est que les auteurs se sentent libres de se promener et de récidiver, parce que justement il n’y a pas de dispositif qui les freine », déplore Maimouna Diocounda Dembélé, responsable du volet prévention des violences basées sur le genre, du réseau Avocats sans frontières.
Un avant-projet de lois issu des concertations de la société civile existe sur le sujet. Un projet qui tarde à être porté à l’assemblée par le gouvernement alors que le pays est l’un des rares de l’espace Cédéao, à ne pas avoir de législation spécifique sur la question.
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