1. Oumou Sangaré – Kamelemba
cosmoradio.de – 21.04.2017
Acht Jahre lang hat Oumou Sangaré sich in der Welt der Musik rar gemacht, nachdem 2009 ihr letztes Album „Seya“ erschienen ist. Dieser Tage feiert sie ihre große Rückkehr und legt einen neuen Langspieler nach: MOGOYA.
Oumou Sangaré hat in ihrer Heimat Mali schon Anfang der 90er Jahre mit ihrem ersten Album „Moussoulou“ Musikgeschichte geschrieben.
2. Oumou Sangaré: „Was mich inspiriert, ist Afrika, mein Kontinent“
Le Point Afrique – 31. März 2017 19:59
Oumou Sangaré, malische Diva der Musik, ist der herausragende Gast des Festivals 100% Afrique von La Villette. Ein …Augenzwinkern für diese unkonventionelle Künstlerin.
Nicht jeder wird Diva, der es sein will. …
„Ich singe seit über 25 Jahren und ich wollte nie in Europa bleiben“, beginnt die Sängerin aus dem Wassoulou.
DEUTSCH (#2 VON MIR VERBESSERTE GOOGLE-ÜBERSETZUNG) WEITER UNTER DEM FRZ. ORIGINAL
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2. Oumou Sangaré : “Ce qui m’inspire, c’est l’Afrique, mon continent !”
Le Point Afrique – 31 Mar 2017 à 19:59
PAR VIVIANE FORSON
Oumou Sangaré, diva malienne de la musique, est l’invitée phare du festival 100 % Afriques de La Villette. Un sacré clin d’oeil pour cette artiste hors-norme.
N’est pas Diva qui veut.
En arrivant si tard à la rencontre de l’artiste malienne, on ne s’attendait pas à un accueil aussi chaleureux. À croire que tout entretien avec Oumou Sangaré commence par une bonne séance de calinothérapie ! Une bise par ci, un “comment ça va” par là. Elle fait le thé, verse l’eau dans la tasse, se sert enfin, elle-même, et tend dans un geste de grande douceur la petite tasse blanche à ses lèvres légèrement teintée de rouge. Ses yeux de chat étirés plissent ce vendredi de fin d’après-midi, certainement sous le coup de la fatigue après une semaine de promo intense pour son nouvel album Mogoya qu’on peut traduire par “les relations humaines aujourd’hui” (à paraître le 19 mai chez le label No format !) – mais ils vous transpercent et soudain elle semble lire en vous…à la limite d’inverser les rôles. Une proximité qui a fait de cette chanteuse l’une des plus grandes artistes du continent africain. Adulée et choyée sur la scène mondiale, c’est le regard plongé dans le coeur du Mali qu’elle puise son inspiration.
Elle respire l’Afrique
“Je chante depuis plus de 25 ans et je n’ai jamais voulu rester en Europe.” débute la chanteuse originaire du Wassoulou (centre historique de l’empire Mandingue) “parce que ce qui m’inspire, c’est l’Afrique, mon continent.” Justement dans cet album de neuf titres, il est beaucoup question du quotidien des Africains. La situation de la femme, les enfants, les faits sociaux comme le suicide, l’humanité, les relations humaines actuelles…En fait, Oumou Sangaré bouillonnait littéralement de ne pas pouvoir enregistrer sur ce qu’elle observait “on a tendance en Afrique à s’européaniser. Moi, je veux que l’Afrique reste l’Afrique, et qu’elle évolue dans le respect de ses traditions. Si on délaisse ces valeurs, on ne sera ni Blanc, ni Noir” lance t-elle dans un léger sourire crispée.
Une voix pour les “sans voix”
Qu’est-ce qui a changé en trente ans ? Oumou soupire. Pour elle, il est urgent de replacer les notions de valeurs et d’engagements au coeur des débats “avant on ne connaissait pas les termes de contrats, d’engagement, de signature, d’actes sur papier” décrypte t-elle “ce qui comptait c’était la parole donnée.” Connue pour son franc parler, depuis ses premiers textes, qui dévoilaient dans certains titres une certaine idée de la sensualité, interdite alors à l’époque, Oumou n’a pas changé sur ce terrain. En tant qu’artiste, elle estime qu’il est dans son rôle de s’exprimer, “dans le débat des idées, aujourd’hui, tout le monde à un rôle à jouer. Moi, mon rôle est de sensibiliser.” avance t-elle, “je pense que les Africains sont les seuls à pouvoir développer notre continent, mais il faut commencer par nous aimer, les uns, les autres. Il y a trop de guerres qui obscursissent nos sens des valeurs.”
Pour la chanteuse malienne aux huit albums, le vent d’optimisme qui souffle sur les nouveaux rapports du monde avec l’Afrique ne doit pas faire oublier les combats pour de meilleures conditions de vie aux populations africaines. Malgré la modernité des sonorités de cet album, concocté entre Stockholm et Paris, avec la contribution du collectif de musiciens français Albert (Vincent Taurelle, Ludovic Bruni et Vincent Taeger), et la participation du légendaire batteur Tony Allen – Oumou Sangaré continue de glisser des messages en direction de la jeunesse et des femmes surtout. “Mon inspiration vient de la femme africaine car sa situation m’inspire beaucoup. J’ai été touchée par mon enfance dure, j’ai beaucoup souffert à cet âge, ce qui m’a aussi inspirée dans la vie. Je pense qu’on doit être tous fiers de la femme africaine d’aujourd’hui. On est là, pour montrer au reste du monde qu’on peut compter sur nous dans notre société et qu’on est assez intelligentes pour accompagner et être aux cotés de nos hommes et que nos pays désormais peuvent compter sur nous.” explique celle qui a chanté pour la première fois à l’âge de cinq ans sur la scène du Stade Omnisports de la capitale Bamako devant 6 000 spectateurs !
“Un temps pour venger sa mère, un autre pour dire son amour”
Née dans une famille d’artistes, sa grand-mère était une grande star dans la région de Wassoullou, et les gens l’invitaient à chanter dans des baptêmes et mariages. Sa mère Aminata Diakité reprend le flambeau en devenant cantatrice. Une artiste qui doit élever seule ses six enfants après le départ du père. C’est tout naturellement qu’elle a d’abord empêché sa fille de chanter, elle voyait Oumou, avocate ou institutrice. Non issue d’une ligné de griots, Oumou Sangaré acquiert toute la lattitude pour exprimer sa sensibilité pour animer les « soumous » (cérémonies nuptiales et baptismales) dans un premier temps. Très vite est venu le temps de la vengeance confie celle qui a d’abord “chanté pour venger sa mère”.
A 16 ans son rêve devient réalité. Elle part en tournée avec le groupe Djoliba Percussions. Elle travaille ensuite avec Abdoulaye Samassa en 1990 qui lui concocte un premier album taillée à la hauteur de son talent “Moussoulou” (les femmes). Son premier grand succès, vendu à plus de 250 000 exemplaires sur tout le continent. Grâce à Ali Farka Touré, Oumou Sangaré signe ensuite avec le label anglais World Circuit. Elle est déjà une superstar en Afrique. En 1993 sort Ko Sira, enregistré à Berlin, puis 3 ans plus tard Worotan, deux albums qui lancent sa carrière internationale. En 2009, elle est au summum avec Seya, un album produit par Cheikh Tidiane Seck. Devenant pour tous la voix des sans voix.
Mogoya
Après huit années d’absence dans les bacs, Oumou Sangaré revient encore plus forte. Son secret ? L’artiste confie ne se fixer aucune limite. Tour à tour, chanteuse, épouse, mère de famille, business woman, Oumou investi dans l’agriculture avec des hectares de terres agricoles, un investissement dans le riz avec une marque à son nom Oumou Sang, l’automobile avec une compagnie de taxis, et l’hôtellerie. Son objectif : “donner du travail aux gens. J’ai pris les gens aux mots, lorsqu’ils se plaignaient de ne pas trouver d’emplois. Alors j’en ai crée.”
Une ambition toute intacte et hyper-communicative, lorsqu’elle nous enlace pour nous dire aurevoir dans un geste à la fois fort et tendre.
En concert le 31 mars à la Grande Halle de la Villette à Paris, mais aussi le 1er juillet au festival Couleur Café à Laeken (au pied de l’Atomium de Bruxelles) et le 3 août au Théâtre de la Mer à Sète.
L’album Mogoya sortira chez No Format ! le 19 mai prochain. Déjà disponible en précommande sur Apple Music.
© 2017 Le Point Afrique
1. Oumou Sangaré – Kamelemba
cosmoradio.de – 21.04.2017
Acht Jahre lang hat Oumou Sangaré sich in der Welt der Musik rar gemacht, nachdem 2009 ihr letztes Album „Seya“ erschienen ist. Dieser Tage feiert sie ihre große Rückkehr und legt einen neuen Langspieler nach.
Oumou Sangaré hat in ihrer Heimat Mali schon Anfang der 90er Jahre mit ihrem ersten Album „Moussoulou“ Musikgeschichte geschrieben. Ihre Popularität hat sie schon damals genutzt, um sich zum Beispiel für die Frauenrechte in ihrem Heimatland einzusetzen. Denn Oumou Sangaré ist Vieles: eine extravagante Diva, eine leidenschaftliche Songwriterin und ein feministisches Idol. In ihrer Musik schafft sie es mühelos die Brücke zwischen dem traditionellen und modernen Afrika zu schlagen. Das wird auch auf ihrem neuen Album „Mogoya“ deutlich, dass im Mai erscheint und in Zusammenarbeit mit dem Pariser Produzenten-Kollektiv Albert – bestehend aus Vincent Taurelle, Ludovic Bruni und Vincent Taeger – entstanden ist. Eine weitere Kostprobe von selbigem liefert sie kurz vor der Veröffentlichung mit ihrer zweiten Single „Kamelemba“: Eine treibende Nummer mit afrikanischen Djembe-Rhythmen, zeitgenössischen Synths und Bässen und natürlich dem starken Gesang von Oumou im Zeichen der Wassoulou-Tradition. „Kamelemba“ bedeutet Schürzenjäger und ist ein Lied über die Playboys und Flirtprofis auf Beutejagd, die mit einstudierten Verführungstechniken versuchen, Mädchen für sich zu gewinnen. „Seid vorsichtig und nehmt euch in Acht vor diesen Kerlen“, singt die Grande Dame aus Mali.Bevor die Platte am 19. Mai kommt, wird uns Oumou schon zwei Wochen vorher als Special Guest beim Tanz in den Mai am 30. April im Mülheimer Ringlokschuppen einen Einblick in die Platte gewähren und mit ihrer großartigen Live-Performance verzaubern.
=> 30.04.2017 Tanz in den Mai – Mülheim an der Ruhr
Special Guest: Oumou Sangaré (Mali)
Oumou Sangaré is back! Ende der Achtzigerjahre hat die charismatische Sängerin aus Mali mit ihrem Album „Moussolou“ Musikgeschichte geschrieben. Seitdem, und durch ihr Eintreten für Frauenrechte und gegen Polygamie, ist sie auch für junge Frauen in Afrika ein feministisches Idol. Acht Jahre nach ihrem umjubelten Werk „Seya“ kommt zu uns mit ihrem neuen Album „Mogoya“ im Gepäck, mit dem sie es wieder mühelos schafft Brücken zwischen dem traditionellen und modernen Afrika zu bauen. Oumou Sangaré ist vieles: eine extravagante Diva, eine inspirierte Songwriterin und eine großartige Performerin. Wir freuen uns total auf ihre Rückkehr!
© 2017 www1.wdr.de
2. Oumou Sangaré: „Was mich inspiriert, ist Afrika, mein Kontinent“
Le Point Afrique – 31. März 2017 19:59
Von VIVIANE FORSON
Oumou Sangaré, malische Diva der Musik, ist der herausragende Gast des Festival 100% Afrique von La Villette. Ein …Augenzwinkern für diese unkonventionelle Künstlerin.
Nicht jeder wird Diva, der es sein will. Da wir ziemlich spät zum Interview mit der malischen Künstlerin erschienen, erwarteten wir nicht, so herzlich willkommen geheißen zu werden. Kaum zu glauben, dass jedes Interview mit Oumou Sangaré mit einer guten Dosis Zärtlichkeitstherapie beginnt! Ein Küsschen hier, ein „Wie geht’s denn“ dort. Sie macht Tee, gießt Wasser in die Tasse, bedient sich schließlich selbst und hebt mit einer sehr sanften Geste die kleine weiße Tasse an die leicht rotgefärbten Lippen. Ihre Katzenaugen sind zusammengekniffen an diesem späten Nachmittag, sicherlich unter dem Einfluss der Müdigkeit nach einer Woche intensiver Werbung für ihr neues Album Mogoya, was man als „Menschliche Beziehungen heute“ übersetzen könnte (am 19. Mai wird es beim Label No Format! erscheinen) – aber diese Augen durchbohren einen und plötzlich scheint sie in Ihnen zu lesen … äußerstenfalls ein Rollentausch. Diese Nähe hat die Sängerin zu einer der größten Künstlerinnen des afrikanischen Kontinents gemacht. Verehrt und verhätschelt auf der internationalen Bühne, schöpft sie ihre Inspiration tief im Herzen von Mali.
Sie atmet Afrika
„Ich singe seit über 25 Jahren und ich wollte nie in Europa bleiben“, beginnt die Sängerin aus dem Wassoulou (historisches Zentrum des Mandingo-Reiches) „weil das, was mich inspiriert, ist Afrika, mein Kontinent. „Gerade in diesem Album mit neun Songs ist viel die Rede vom Alltag der Afrikaner. Die Situation von Frauen, Kindern, soziale Phänomene wie Selbstmord, Menschlichkeit, aktuelle menschliche Beziehungen … In der Tat, Oumou Sangaré braust im wahrsten Sinne des Wortes auf …. was sie beobachtet: „Es gibt es eine Tendenz in Afrika zur Europäisierung. Ich will, dass Afrika Afrika bleibt, und dass es sich im Einklang mit seinen Traditionen entwickelt. Wenn wir diese Werte aufgeben, sind wir weder weiß noch schwarz“, sagt sie mit einem leicht angespannten Lächeln.
Eine Stimme für die, „die keine Stimme haben“
Was hat sich in dreißig Jahren verändert? Oumou seufzt. Für sie ist es dringend notwendig, die Konzepte der Werte und Verpflichtungen wiederzuerlangen. „Bevor wir die Bedingungen der Verträge, der Engagements, der Unterschriften auf dem Papier nicht kannten“, entziffert sie, „was da zählte, war das gegebene Wort.“ Bekannt für ihre Freimütigkeit, angefangen von ihren ersten Texten, die in bestimmten Liedern eine gewisse Idee von Sinnlichkeit enthüllten, und damals verboten wurden, hat Oumou sich nicht verändert. Als Künstlerin meint sie ihre Rolle darin zu sehen, sich auszudrücken. „In der Debatte der Ideen, heute, hat jeder eine Rolle zu spielen. Meine Rolle ist es zu sensibilisieren“, bringt sie vor, „ich denke, die Afrikaner sind die Einzigen, die unseren Kontinent entwickeln können, aber wir müssen zuerst mal uns selbst lieben. Es gibt zu viele Kriege, die unseren Sinn für Werte verdunkeln.“
Für die malische Sängerin darf der Wind des Optimismus, der durch die neuen Beziehungen der Welt mit Afrika weht, nicht den Kampf der Menschen in Afrika für bessere Lebensbedingungen vergessen lassen. Trotz der moderne Klängen dieses Albums, gebraut zwischen zwischen Stockholm und Paris mit dem Kollektiv der französischen Musiker Albert (Vincent Taurelle, Ludovic Bruni und Vincent Taeger) und der Beteiligung des legendären Schlagzeugers Tony Allen – Oumou Sangaré flicht weiter Botschaften für die Jugendlichen und vor allem die Frauen ein. „Meine Inspiration kommt aus der Lage der afrikanischen Frau. Ich war von meiner harten Kindheit beeinflusst, habe in diesem Alter viel gelitten, das hat mich auch im Leben inspiriert. Ich denke, dass wir alle stolz auf die afrikanische Frau von heute sein sollten. Wir sind da, wir zeigen der Welt, dass man in unserer Gesellschaft auf uns zählen kann, und dass wir intelligent genug sind, um an der Seite unserer Männer zu stehen, so dass unser Land jetzt auf uns zählen kann“, erklären diejenige, die zum ersten Mal im Alter von fünf Jahren auf der Bühne des Stade Omnisports der Hauptstadt Bamako vor 6000 Zuschauern sang!
„Eine Zeit, um ihre Mutter zu rächen, eine andere, um ihre Liebe auszudrücken“
Sie war Spross einer Künstlerfamilie. Ihre Großmutter war ein großer Star der Wassoullou-Region, die Menschen luden sie ein, bei Taufen und Trauungen zu singen. Ihre Mutter Aminata Diakité übernahm diese Tradition und wurde Sängerin. Eine Künstlerin, die ihre sechs Kinder nach demr Weggang des Vaters allein aufziehen muss. Es war nur natürlich, dass sie anfangs ihre Tochter daran hinderte zu singen, sie sah Oumou als Anwältin oder Lehrerin. Obwohl sie nicht von einer Linie der Griots abstammt, nimmt Oumou Sangaré sich die Freiheit, ihre Sensibilität in der Animation von „soumous“ zum Ausdruck zu bringen (Hochzeits- und Tauf-Zeremonien). Sehr bald kam die Zeit der Rache, gesteht sie, die zuerst „sang, um meine Mutter zu rächen.“ Mit 16 Jahren geht ihr Traum in Erfüllung. Sie tourt mit der Gruppe Djoliba Percussions. Anschließend arbeitet sie mit Abdoulaye Samassa 1990, der ihr erstes Album „Moussoulou“ (Die Frauen) auf ihr Talent zuschneidet. Ihr erster großer Erfolg, mit über 250.000 verkauften Exemplaren auf dem gesamten Kontinent. Dank Ali Farka Touré unterzeichnet Oumou Sangaré dann den Vertrag mit dem englischen Label World Circuit. Sie ist jetzt schon ein Superstar in Afrika. 1993 kommt Ko Sira heraus, in Berlin eingespielt, dann 3 Jahre später Worotan, zwei Alben, die ihre internationale Karriere einläuten. Im Jahr 2009 ist sie an der Spitze mit Seja, einem Album produziert von Cheikh Tidiane Seck. Und wird für alle die Stimme der Menschen ohne Stimme.
Mogoya
Nach acht Jahren Abwesenheit in den Läden, kommt Oumou Sangaré umso stärker zurück. Ihr Geheimnis? Die Künstlerin setzt sich keine Grenzen. Abwechselnd Sängerin, Ehefrau, Mutter, Geschäftsfrau, investiert Oumou in die Landwirtschaft mit vielen Hektar Ackerland, in den Reis mit einem Markennamen Oumou Sang, in Autos mit einem Taxi-Unternehmen, und in Hotels. Ihr Ziel: „den Menschen Arbeit zu geben. Ich habe die Menschen beim Wort genommen, als sie sich beschwerten, keinen Arbeitsplatz zu finden. So habe ich welche geschaffen.“
Eine ganz ungebrochene und hyperkommunikative Ambition, als sie uns zum Abschied umarmt, mit einer gleichzeitig starken und zarten Geste.
Konzerte am 31. März in der Grande Halle de la Villette in Paris, am 1. Juli beim Festival Couleur Café in Laeken (am Fuße des Atomiums in Brüssel) und am 3. August im Théâtre de la Mer in Sète.
L’album Mogoya out bei No-Format! Am 19 Mai. Bereits verfügbar für Pre-Order auf Apple Music.
© 2017 Le Point Afrique
Das you-tube-video ist leider mal wieder aus urheberrechtlichen Gründen gesperrt.
Hier noch links zu 2 ihrer Lieder vom neuen Album MOGOYA:
Oumou Sangaré interprète “Minata waraba” dans Couleurs Tropicales (Musiksendung auf RFI, 14 Avr 2017)
=> http://www.maliweb.net/video/musique-videos/oumou-sangare-interprete-minata-waraba-couleurs-tropicales-2182172.html
Oumou Sangaré ft. Tony Allen : Yere Faga
Publié le 30.03.2017
=> https://youtu.be/Sg1JqUA5ck4?list=PLfeFiqqWWbJuKX7qTpoglBlIxSBGPH0wE
[Lyrics translation]
Yere Faga (Suicide)
Don’t kill yourself because of suffering
No-one should commit suicide because of pain
My brothers and sisters, we should not take our own lives
because of suffering
My brothers and sisters, no-one should kill themselves
Life on earth is not easy, but-no one should kill themselves
Living among humans is challenging, but don’t kill yourself
…
Yébé, don’t take your own life because of suffering
Humm Yébé, you should not take your own life
Madame Cissé, don’t kill yourself over pain
Your siblings count on you, please don’t take your own life
Your children love you, don’t kill yourself over any kind of pain
Cissé loves you, please don’t kill yourself over suffering
Your singer Sangaré loves you, don’t kill yourself over suffering
So why would you kill yourself and leave us in deep sorrow?
…
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