DER STREIK IN DEN KRANKENHÄUSERN GEHT SCHON IN DIE 4. WOCHE, UND KEIN ENDE IN SICHT – Le grève du personnel de la santé (23ème jour) inqiète la population, mais il y a beaucoup de solidarité


Mali: öffentliche Krankenhäuser durch einen Streik gelähmt
AFP – 15/03/2017 um 20:00 Uhr
Die öffentlichen Krankenhäuser in Mali blieben am Mittwoch durch einen Streik gelähmt, der am 9. März vom Gesundheitspersonal ausgerufen worden war..
Der Streik betrifft alle Arbeitnehmer im öffentlichen Gesundheitssektor, einschließlich der Ärzte und Krankenschwestern, und legt die öffentlichen Krankenhäuser und öffentlichen Gesundheitszentren in Bamako und in mehreren Städten der Provinz lahm.
2. #Badjimé_ka_Nafiguiya: An den Präsidenten IBK. (Offener Brief)
(in etwa „der große Djimé aus der Zunft der Lausejungen“)
Hallo Brin (populäre Kurzform für Ibrahim, Ed), ich bin’s Badjimé das Kind von Bakadia….
Ich bin sehr wütend auf dich, dass du mich nicht zur Konferenz der Nationalen Einigung (CEN) eingeladen hast, die du doch so umfassend wie möglich haben wolltest.

DEUTSCH (VON MIR VERBESSERTE GOOGLE-ÜBERSETZUNG) WEITER UNTER DEM LETZTEN FOTO

1. Mali: les hôpitaux publics paralysés par une grève
AFP – 15.03.2017 à 20:00
Les hôpitaux publics du Mali restaient paralysés mercredi par une grève déclenchée le 9 mars par les personnels de santé revendiquant notamment une revalorisation de salaires, selon des sources syndicales, des témoins et un journaliste de l’AFP.

Foto (c) africatime.com: A l’Hôpital du Mali, Bamako – Vor einem der großen Krankenhäuser Malis in Bamako

Le mouvement concerne l’ensemble des personnels de santé du secteur public, dont les médecins et les infirmiers, et affecte le fonctionnement des hôpitaux publics et des centres publics de santé à Bamako et dans plusieurs villes en province, d’après ces sources.
Dans la capitale, les consultations étaient à l’arrêt mercredi à l’Hôpital Gabriel-Touré, un des principaux du pays, mais un service minimum y était assuré, a constaté un journaliste de l’AFP.
„Notre enfant est malade. Il lui faut du sang, mais à cause de la grève c’est difficile pour nous“, a indiqué un père de famille rencontré dans cet hôpital en compagnie de son épouse et leur bébé.
A l’Hôpital du Point G, autre établissement de référence de la capitale malienne, la grève était largement suivie, selon des témoins.
Le mouvement était également suivi à l’intérieur du pays, notamment dans les villes de Gao (nord), et de Ségou et Mopti (centre), d’après des syndicats et témoins.
„La grève est vraiment suivie. Mais on a quand même le service minimum“, a déclaré à l’AFP Mamoud Maïga, un responsable syndical local à Gao.
La grève a été déclenchée par les deux principaux syndicats nationaux du secteur de la Santé, qui réclament une augmentation des salaires et l’intégration de travailleurs contractuels dans la Fonction publique, ont affirmé des sources au sein de ses organisations jointes par l’AFP.
„Nous voulons une augmentation substantielle des primes de fonction et de grade, l’abrogation des mutations abusives de syndicalistes en cours de mandat, l’intégration dans la fonction publique des contractuels“, a déclaré à l’AFP Mamady Kané, un responsable du Syndicat national de la Santé, une des organisations à l’initiative de la grève.
Les revendications comprennent aussi „la prise en charge à 100% des soins médicaux“ des personnels de santé, a de son côté indiqué à l’AFP une source à la Fédération des syndicats de la Santé, l’autre syndicat ayant lancé la grève.
Sollicité par l’AFP, un responsable du ministère de la Santé a simplement répondu: „L’Etat n’a pas tous les moyens pour satisfaire les revendications des grévistes“, sans plus de commentaire.
© 2017 AFP

2. #Badjimé_ka_Nafiguiya: Au Président IBK.
Par Djimé Kanté (Syndicaliste du personnel de la santé) – 29.03.2017
Bonjour Brin, c’est moi Badjimé l’enfant de Bakadia. Ne fais pas semblant de ne pas me connaître si non je risque de te rafraîchir la mémoire et crois moi ça va pas te plaire.

Je suis très fâché contre toi pour avoir refusé de m’inviter à la conférence d’entente Nationale (CEN) qui tu voulais pourtant le plus inclusif possible. Aucun Nanfigui Professionnel n’y participe et j’en prends acte.

Les maliens ne t’aiment plus comme pendant la campagne. La chanson „Kankeletiguiya“ de Djeneba Seck nous énerve de plus en plus.

La charte de Kouroukan Fouga me donne le droit de dire la vérité à qui que ce soit y compris le chef de l’état que tu es et cela dans détours. La grogne sociale a atteint un niveau sans précédent dans notre pays et si on y prend garde, nous pourrions perdre les maigres acquis sous votre gouvernance car le peuple pourrait se soulever et te reprendre sa confiance (Dieu nous en preserve)

Camarade Ibrim, ton peuple souffre et c’est vers toi que tous les regards sont tournés. La naissance d’un enfant prend 9 mois, pour la renaissance du Mali, voici mes 9 propositions que j’aurais développé et soutenu si j’étais invité à cette CEN et j’espère que tu en tiendras compte :

1- Réduire considérablement le train de vie des institutions de la République en commençant par une réduction des budgets. Tu devrais renoncer à ton prime de logement et autres avantages.

2- Mettre une équipe Gouvernementale ne dépassant aucunement 20 ministres . transformer en Ambulance pour les CSRef, Cscom et Asaco les grosses cylindrées des responsables du pays et leur donner de petites voitures qui consomment moins (Yaris par exemple) et dont l’entretien coûte 10 fois moins cher. On y économisera des milliards.

3 – Mettre fin au gaspillage de l’eau, l’électricité et du téléphone dans les services publics et réduire leurs consommations d’au moins 50%. Des milliards seront également gagnés à ce niveau.

4- Faire un audit général des biens de l’état, transmettre les rapports du Vegal à la justice, arrêter et juger sans délais tous les cadres reconnus coupables de détournement et d’autres malversations.

5 – Renforcer le dialogue social à tous les niveaux et exiger de chaque département de fournir trimestriellement des rapports de réunions entre services publics et partenaires sociaux à un organisation dédiée spécialement à cet effet. Plusieurs grèves seraient évitées.

6 – Éloigner encore un peu plus sa famille des affaires publics en commençant par enlever Karim de la présidence de la commission defense (poste qu’il n’aurait jamais occupé s’il était simple fils de Bakadia la vendeuse de Friperies)

7 – Renoncer à la création du Sénat et à toutes les réformes en vue ayant une incidence financière et dont la nécessité et l’opportunité ne feraient pas l’unanimité.

8 – Faire les débats sur les questions d’actualités en langue nationale Bamanankan à l’Assemblée Nationale et en faire sur la chaîne de télévision nationale au moins une fois par mois.

9- Reconnaître Publiquement avoir trébuché, demander pardon au peuple pour ce faire et annoncer ces nouvelles mesures dans une adresse solennelle à la Nation.

C’est le Mali qui profitera de ces mesures qui sont simplement du #manamanakan d’un citoyen qui n’a aucune idée de la gestion d’un pays comme le Mali.
© 2017 facebook.com/kitakanou

Publié le 27 mars par Djimé Kanté:
Wer ist der Schlechte? 1 – Der, der den Eid des Hippokrates, aus einer anderen Zivilisation, geschworen hat und manchmal aufgrund bestimmter Zwänge sein Wort nicht hält
ODER
2 – der, der andauernd bei Allah schwört und doch weiter mogelt, täuscht, lügt, unterwirft, Gewalt ausübt, tötet, korrumpiert, zu hohe Rechnungen ausstellt, verrät, seinen Verpflichtungen nicht nachkommt, etc…
Des maliens patientent à l'hôpital de Gao, le 21 septembre 2012
Foto (c) AFP/ISSOUF SANOGO: Des maliens patientent à l’hôpital de Gao, le 21 septembre 2012 – Malier warten geduldig am Krankenhaus von Gao (Archivbild)
Mali: öffentliche Krankenhäuser durch einen Streik gelähmt
AFP – 15/03/2017 um 20:00 Uhr
Die öffentlichen Krankenhäuser in Mali blieben am Mittwoch durch einen Streik gelähmt, der am 9. März vom Gesundheitspersonal ausgerufen worden war. Die Forderungen sind insbesondere eine Aufwertung der Gehälter, laut Gewerkschaftsquellen, Zeugen und einem AFP-Journalisten.
Der Streik betrifft alle Arbeitnehmer im öffentlichen Gesundheitssektor, einschließlich der Ärzte und Krankenschwestern, und legt die öffentlichen Krankenhäuser und öffentlichen Gesundheitszentren in Bamako und in mehreren Städten der Provinz lahm, nach diesen Quellen.
In der Hauptstadt wurden am Mittwoch keine Untersuchungen am Gabriel-Touré-Krankenhaus gemacht, einer der führenden Kliniken im Land, aber ein Minimaldienst wurde dort gewährleistet, sagte ein Journalist von AFP.
„Unser Kind ist krank. Es braucht Blut, aber wegen des Streiks ist es schwierig für uns“, sagte ein Vater, im Krankenhaus angetroffen mit seiner Frau und ihrem Baby.
Am Hospital Point G, einer anderen bedeutenden Einrichtung der malischen Hauptstadt, sei der Streik weitgehend befolgt worden, sagten Zeugen.
Die Bewegung wurde auch im Landesinnern befolgt, insbesondere in den Städten Gao (Norden), Ségou und Mopti (Mitte), Gewerkschaften und Zeugen zufolge.
„Der Streik wird wirklich befolgt. Aber wir haben immer noch den Minimaldienst“, sagte AFP gegenüber Mamoud Maïga, ein lokaler Gewerkschaftsfunktionär in Gao.
Der Streik war von den beiden wichtigsten nationalen Gewerkschaften im Gesundheitssektor ausgerufen worden, die eine Lohnerhöhung und die Integration von Angestellten in den öffentlichen Dienst fordern, hieß es aus diesen Organisationen.
„Wir wollen eine deutliche Erhöhung der Prämien für Funktion und Rang, die Aufhebung der ungerechtfertigten Versetzungen von Gewerkschaftsmitgliedern während ihres Mandats, die Integration der Angestellten in den öffentlichen Dienst“, sagte der AFP Mamady Kané, ein Beamter der nationalen Gewerkschaft für Gesundheit, eine der Streikorganisatoren.
Die Forderungen umfassen auch „100%ige Übernahme der medizinischen Versorgung“ für das Gesundheitspersonal, hat seinerseits Teil eine Quelle bei der Föderation der Gewerkschaften für Gesundheit wissen lassen, die andere Gewerkschaft, die den Streik ausgerufen hat.
Auf Fragen von AFP antwortete ein Beamter aus dem Gesundheitsministerium einfach: „Der Staat hat keine Mittel, um allen Forderungen der Streikenden gerecht zu werden“, ohne weiteren Kommentar.
© 2017 AFP

2. #Badjimé_ka_Nafiguiya: An den Präsidenten IBK. (Offener Brief)
(in etwa „der große Djimé aus der Zunft der Lausejungen“)
Hallo Brin (populäre Kurzform für Ibrahim, Ed), ich bin’s Badjimé das Kind von Bakadia. Tu nicht so, als kenntest du mich nicht, sonst könnte ich dein Gedächtnis auffrischen, und glaub mir, das würde dir nicht gefallen.
Ich bin sehr wütend auf dich, dass du mich nicht zur Konferenz der Nationalen Einigung (CEN) eingeladen hast, die du doch so umfassend wie möglich haben wolltest. Kein professioneller Lausejunge ist daran beteiligt, und ich nehme das zur Kenntnis.
Die Malier lieben dich nicht mehr so wie während der Kampagne (Wahlkampagne 2013, wo IBK mit 77% gewählt wurde, Ed). Der Song „Kankeletiguiya“ (ein Mann ein Wort) von Djeneba Seck nervt uns mehr und mehr.
Die Charta von Kurukan gibt mir das Recht, jedermann die Wahrheit zu sagen, einschließlich der Spitze des Staates, die du bist, und das ohne Umschweife. Die sozialen Unruhen haben ein noch nie da gewesenes Ausmaß in unserem Land erreicht, und wenn wir nicht aufpassen, könnten wir unsere mageren Errungenschaften unter deiner Staatsführung verlieren, weil die Menschen sich erheben und dir ihr Vertrauen entziehen könnten (Gott bewahre uns davor).
Genosse Ibrim, dein Volk leidet und alle Augen sind auf dich gerichtet. Die Geburt eines Kindes dauert 9 Monate, für die Wiedergeburt von Mali sind hier meine 9 Vorschläge, die ich entwickelt und dann vorgetragen hätte, wenn ich zur CEN eingeladen gewesen wäre, und ich hoffe, du beachtest sie:
1- signifikant den Lebensstil der Institutionen der Republik reduzieren, mit einer Reduzierung der Budgets beginnen. Du solltest auf deine Wohnungsprämie und andere Vorteile verzichten.
2- eine Regierungsmannschaft einsetzen, die nicht mehr als 20 Minister umfasst. In Krankenwagen der CSRef, Cscom und ASACO (kommunale Gesundheitsposten) verwandeln: die dicken Autos der Landesbeamten, ihnen kleine Autos (z.B. Yaris) geben, die weniger verbrauchen und deren Wartung 10-mal billiger ist. Dadurch werden Milliarden gespart.
3 – die Verschwendung von Wasser, Strom und Telefon in den öffentlichen Diensten beenden und ihren Verbrauch um mindestens 50% reduzieren. Milliarden werden auch hier gespart.
4- eine allgemeine Prüfung des Staatsvermögens durchführen, die Berichte des Obersten Rechnungsprüfers dem Gericht überstellen, alle Führungskräfte, die sich der Veruntreuung und anderer Verfehlungen schuldig gemacht haben, festnehmen und unverzüglich anklagen.
5 – den sozialen Dialog auf allen Ebenen stärken und von jedem Ministerium vierteljährliche Berichte von Treffen zwischen öffentlichen Diensten und Sozialpartnern anfordern, die an eine speziell diesem Zweck gewidmeten Organisation zu liefern sind. Eine Anzahl von Streiks würden vermieden.
6 – noch ein bisschen mehr seine Familie aus den öffentlichen Angelegenheiten heraushalten, zuerst Karim (Sohn von IBK, Ed) aus dem Vorsitz des Verteidigungsausschusses entfernen (einen Posten, den er nie erhalten hätte, wenn er der einfache Sohn von Bakadia der Altkleiderhändlerin wäre)
7 – die Einführung des Senats und alle vorgesehenen Reformen aufgeben, die finanzielle Auswirkungen haben und deren Notwendigkeit und Zweckmäßigkeit keine allgemeine Zustimmung finden.
8 – die Debatten zu aktuellen Themen in der Nationalversammlung in der Landessprache Bamanankan abhalten und mindestens einmal im Monat im nationalen Fernsehen wiedergeben.
9 – öffentlich anerkennen gestrauchelt zu sein, sich beim Volk entschuldigen und die neuen Maßnahmen in einer feierlichen Ansprache an die Nation verkünden.
Mali wird von diesen Maßnahmen profitieren, die einfach #manamanakan (Gerede) eines Bürgers sind, der von der Führung ein Landes wie Mali keine Ahnung hat.
© 2017 facebook.com/kitakanou

Ein Gedanke zu „DER STREIK IN DEN KRANKENHÄUSERN GEHT SCHON IN DIE 4. WOCHE, UND KEIN ENDE IN SICHT – Le grève du personnel de la santé (23ème jour) inqiète la population, mais il y a beaucoup de solidarité

  1. La grève continue dans le secteur de la santé
    RFI – 04-04-2017 à 14:38
    La grève illimitée se poursuit dans le secteur de la santé publique au Mali. Le Premier ministre malien, Modibo Keïta, a reçu, lundi 3 avril, des responsables de l’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM), un syndicat auquel est affilié le personnel des hôpitaux et des centres de soins publics. Ce personnel est en grève illimitée depuis plus de trois semaines. Le Premier ministre a demandé aux responsables syndicaux une suspension de la grève pendant deux semaines. Il s’est vu opposé un refus de la base qui juge insuffisant ce que propose le gouvernement face aux revendications.
    Vingt-sept jours de grève et les grévistes viennent de durcir le ton. Ils ont rejeté la demande de suspension de grève de deux semaines souhaitée par le gouvernement.
    Les grévistes expliquent qu’il y a toujours des désaccords sur cinq des huit points de leurs revendications, notamment la prime de garde et l’intégration des émoluments dans le salaire.
    Les grévistes reconnaissent deux accords partiels et un seul accord sur la prise en charge à 100 % des soins médicaux des travailleurs sociaux sanitaires, assujettis à la l’Assurance Maladie Obligatoire (AMO).
    En attendant, la grève est durement ressentie dans deux hôpitaux nationaux de Bamako et dans certains centres de santé publique. Malgré le service minimum, le spectacle est plutôt désolant ; des enfants malades, en pleurs, attendent le médecin et des parents de malades, en colère, demandent à l’Etat et aux grévistes de s’entendre, enfin.
    (c) 2017 rfi.fr

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