En haut/Oben: Foto (c) Minusma: Vue aérienne de Ménaka au Mali – Luftbild von Ménaka in Mali
Das Abkommen für Frieden und Versöhnung (als Abkommen von Algier bekannt) sah die Einrichtung von Behörden vor, die in einer Übergangsphase für die Verwaltung der Gemeinden, Kreise und Regionen im Norden zuständig wären, spätestens drei Monate nach der Unterzeichnung des Abkommens (die im Mai/Juni 2015 stattfand).
Im Gegensatz zu einem gewählten Rat können die Interimsbehörden … keine öffentlichen Dienststellen schaffen oder Personal rekrutieren.
Die Dauer ist auf sechs Monate begrenzt und kann, wenn die Umstände den normalen Ablauf von Wahlen nicht zulassen, durch Dekret des Ministerrates verlängert werden, bis auf maximal zwölf Monate.
L’Accord de Paix et Réconciliation (dit l’Accord d’Alger) prévoyait la mise en place, le cas échéant et au plus tard trois mois après la signature de l’Accord (survenue en mai/juin 2015), des autorités chargées de l’administration des communes, cercles et régions du Nord durant la période intérimaire.
A la différence du conseil élu, l’autorité intérimaire ne peut ni emprunter ni aliéner un bien de la collectivité. Elle ne peut non plus créer de service public ou recruter du personnel.
La durée de ses pouvoirs est de six (6) mois et lorsque les circonstances ne permettent pas le déroulement normal des consultations électorales, elle peut être prorogée par décret pris en conseil des ministres, sans pouvoir excéder douze (12) mois.
1. Die Übergangsbehörden sind in Kidal eingesetzt
RFI – 01-03-2017 à 14:18
Die ersten Übergangsbehörden, die die Autorität des Staates im Norden wieder herstellen sollen, wurden in Kidal eingesetzt. Eine erste Etappe, die mehr als 18 Monate gedauert hat, aber das Friedensabkommen ist einen großen Schritt nach vorn gekommen.
2. Die Einsetzung der Übergangsbehörden in Gao und Ménaka
RFI – 02.03.2017 17:29
…Die offizielle Delegation landete am frühen Nachmittag in Ménaka, einer ganz neuen Region. In Ménaka, keine Unstimmigkeit, keine wesentlichen Probleme.
3a. Einsetzung der Übergangsbehörden in Gao umstritten
RFI – 02-03-2017 15:27
3b. Blockade in Gao beendet, Einsetzung der Übergangsbehörden
RFI – 02-03-2017 à 23:58
In Gao entspannte sich die Lage erst am späten Vormittag dank der Bemühungen der Regierungsvermittlung. Die bewaffneten Männer, die den Regionalrat besetzt hielten, räumten schließlich das Feld.
DEUTSCH (VON MIR VERBESSERTE GOOGLE-ÜBERSETZUNG) WEITER UNTER DEN FRZ. ORIGINALEN

Foto (c) RFI/Anthony Fouchard: Les populations de Ménaka étaient massées le long du parcours officiel jusqu’au gouvernorat.
Die Bevölkerung von Ménaka drängelte sich entlang der offiziellen Route zum Gouverneursamt.
MORE Problèmes des autorités intérimaires/Übergangsbehördenprobleme in MALI-INFORMATIONEN
1. Les autorités intérimaires s’installent à Kidal
RFI – 01-03-2017 à 14:18
Les premières autorités intérimaires, censées rétablir l’autorité de l’Etat dans les régions du Nord, ont été installées à Kidal. Une première étape qui a pris plus de 18 mois, mais l’accord de paix fait un grand pas en avant. Cependant, les challenges restent conséquents. RFI a pu se rendre dans l’extrême nord-est du Mali pour assister à cette cérémonie.
La délégation d’officiels n’aura vu Kidal que par la fenêtre opaque des blindés de l’ONU. Le trajet entre l’héliport et le nouveau siège des autorités intérimaires s’est déroulé sous très haute sécurité. Les forces françaises Barkhane, les casques bleus, mais aussi les soldats de la Coordination des mouvements de l’Azawad ont totalement verrouillé la ville pendant quelques heures, le temps d’une cérémonie express.

Foto (c) STRINGER/AFP: Koïna Ag Ahmadou, gouverneur de la région de Kidal, salue les représentants de la CMA, à Kidal, le 28 février 2017.
Koïna Ag Ahmadou, Gouverneur der Region Kidal, begrüßt die Vertreter der CMA, in Kidal am 28. Februar 2017.
Une trentaine d’officiels, l’ambassadrice de France, les représentants de l’ONU et ministres du gouvernement malien (dont celui de de l’Administration Territoriale) ont fait le déplacement depuis Bamako. Quelques discours sans fard, dans lesquels tous sont félicités de cette première étape symbolique.
Le drapeau du Mali n’a pas été hissé sur Kidal. A la place, des écharpes aux couleurs nationales ont été distribuées aux nouvelles autorités intérimaires, saluées par de timides applaudissements et des slogans pro-Azawad venus du fond de la salle, un territoire revendiqué un temps par les ex-rebelles. « On sait qu’il y a des difficultés, admet Haminy Belco Maïga, premier vice-président de ces autorités intérimaires. La première, c’est la cohésion sociale. Dans l’autorité intérimaire, il y a la plateforme, il y a les représentants de l’Etat, les représentants de la CMA. Ce n’est pas fortuit. Tant que les gens ne parlent pas le même langage, tant que les gens ne s’entendent pas, il ne peut pas avoir de développement, il ne peut pas y avoir de sécurité. »
(…)
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2. Installation des autorités intermédiaires à Gao et Ménaka
RFI – 02-03-2017 à 17:29
Au Mali, après Kidal mardi, l’installation des autorités intérimaires est prévue ce vendredi à Gao, comme à Ménaka. C’est ce que prévoit l’Accord de paix signé en 2015 sur le nord du Mali. Et la cérémonie va bien avoir lieu.
La délégation officielle a atterri en début d’après-midi à Ménaka. Une toute nouvelle région dans laquelle les autorités intérimaires doivent être investies ce vendredi. A Ménaka, aucune dissension, aucun problème notable. Tous les partis signataires de l’accord se sont mis d’accord sur les représentants. Et la population dans l’ensemble est largement favorable.
Le convoi de la délégation officielle se déplace sous haute surveillance. On peut apercevoir plusieurs blindés de l’ONU, plusieurs blindés également de la force française Barkhane, et des pick-up composés des soldats maliens.
Après cette cérémonie à Ménaka, la délégation doit reprendre les hélicoptères pour se rendre à Gao où ce n’est pas la même situation, car jeudi encore, des hommes armés avaient investi le Conseil régional, l’assemblée régionale de Gao pour s’opposer à l’investiture des autorités intérimaires. A priori, un accord a été trouvé. Gao est toujours donc sur le plan de vol et la délégation devrait y être en fin d’après-midi.
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DISARMAMENT, DEMOBILIZATION AND REINTEGRATION (DDR)
Minusma –
Disarmament, demobilization and reintegration (DDR) has become an integral part of post-conflict peace consolidation, featuring prominently in the mandates of peacekeeping operations over the last twenty years.
DDR activities are crucial components of both the initial stabilization of warn-torn societies as well as their long-term development. DDR must be integrated into the entire peace process from the peace negotiations through peacekeeping and follow-on peacebuilding activities.
Disarmament is the collection, documentation, control and disposal of small arms, ammunition, explosives and light and heavy weapons from combatants and often from the civilian population.
Demobilization is the formal and controlled discharge of active combatants from armed forces and groups, including a phase of “reinsertion” which provides short-term assistance to ex-combatants.
Reintegration is the process by which ex-combatants acquire civilian status and gain sustainable employment and income. It is a political, social and economic process with an open time-frame, primarily taking place in communities at the local level.
The objective of the DDR process is to contribute to security and stability in post-conflict environments so that recovery and development can begin. DDR helps create an enabling environment for political and peace processes by dealing with security problems that arise when ex-combatants are trying to adjust to normal life, during the vital transition period from conflict to peace and development.DDR supports ex-combatants to become active participants in the peace process by:
– removing weapons from the hands of combatants;
– taking the combatants out of military structures;
– integrating combatants socially and economically into society.
3a. L’installation des autorités intérimaires à Gao contestée
RFI – 02-03-2017 à 15:27
Au Mali, les autorités intérimaires ont été installées à Kidal dans le nord du Mali. Ce jeudi 2 mars, c’est à Gao et Ménaka qu’elles doivent être mises en place. Mais rien n’est moins sûr, du moins pour Gao, car des mouvements politico-militaires s’y opposent en occupant militairement des lieux de pouvoir.
La CMFPR2 (Coordination des mouvements des forces patriotiques et de résistance n°2), un groupe politico-militaire, occupe depuis mardi l’assemblée régionale de Gao avec plus d’une dizaine d’hommes armés qui interdisent l’accès aux agents de l’Etat. Un coup de force…
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3b. Situation débloquée à Gao, installation des autorités intérimaires
RFI – 02-03-2017 à 23:58
..A Gao, la situation ne s’est débloquée que dans la matinée grâce aux efforts de la médiation gouvernementale. Les hommes armés qui occupaient le conseil régional ont finalement accepté de libérer les lieux pour que les autorités intérimaires puissent être investies.
Les mouvements politico-militaires opposés à ces autorités intérimaires ont finalement eu gain de cause. CPA, CJA, MSA, CMFPR2, tous obtiennent chacun des représentants dans les différentes commissions liées à l’accord de paix, notamment celles liées au DDR (Désarmement, Démobilisation et Réinsertion) et aux patrouilles mixtes.
Le blocage a duré près de 3 jours à Gao. Djibrila Maïga, le nouveau président des autorités intérimaires est catégorique, il faut désormais donner la parole à tous : « Vous avez tous suivi avec moi les tensions autour de la mise en place des autorités intérimaires, conseil islamique de Gao, chef coutumier de Gao, plateforme de Gao, CMA de Gao, Gao Lama, patrouilleurs de Gao, chacun n’a oeuvré et ne continue à oeuvrer que pour le bonheur de Gao. Les démarches certainement diffèrent, mais l’objectif reste le même pour nous tous. C’est pourquoi nous nous mettrons à l’écoute de tous, pour prendre en compte les avis et les aspirations de tous, pour réussir notre mission ».
Mais les autorités intérimaires à peine investies, déjà des voix se lèvent. « C’est une pièce de théâtre dans laquelle ils nous ont mis » lance un membre de la Plateforme. « Mettre en place des autorités intérimaires c’est bien, mais il faut maintenant leur donner les moyens de travailler » dit-il.
A Ménaka, ce qui tracasse le nouveau président également investi jeudi, c’est l’eau. Il y a un seul château d’eau pour toute la ville, elle commence déjà à manquer et ce n’est que le début de la saison sèche.
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1. Die Übergangsbehörden sind in Kidal eingesetzt
RFI – 01-03-2017 à 14:18
Die ersten Übergangsbehörden, die die Autorität des Staates im Norden wieder herstellen sollen, wurden in Kidal eingesetzt. Eine erste Etappe, die mehr als 18 Monate gedauert hat, aber das Friedensabkommen ist einen großen Schritt nach vorn gekommen. Allerdings bleiben die Herausforderungen erheblich. RFI war im äußersten Nordosten Malis und konnte an den Feierlichkeiten teilnehmen.
Die offizielle Delegation wird Kidal nur durch die undurchsichtigen Fenster der gepanzerten UN-Fahrzeuge gesehen haben. Die Fahrt zwischen dem Hubschrauber-Landeplatz und dem neuen Sitz der Übergangsbehörden fand unter sehr hohen Sicherheitsvorkehrungen statt. Die französischen Barkhane-Truppen, die Blauhelme, aber auch die Soldaten der CMA sperrten die Stadt für ein paar Stunden völlig ab, gerade lange genug für eine Express-Zeremonie.
Etwa dreißig Beamte, die Botschafterin Frankreichs, die Vertreter der Vereinten Nationen und Minister der malischen Regierung waren von Bamako angereist. Einige ungeschminkte Reden, in der alle diesen ersten symbolischen Schritt begrüßten.
Die Flagge von Mali ist in Kidal nicht gehisst worden. Stattdessen wurden Schals in den Nationalfarben an die neuen Übergangsbehörden verteilt, begrüßt von schüchternem Applaus und Pro-Azawad-Parolen aus dem hinteren Teil des Saals, ein Gebiet, das vor einer gewissen Zeit von den ehemaligen Rebellen beansprucht wurde. „Wir wissen, dass es Schwierigkeiten gibt“, gibt Haminy Belco Maïga zu, der erste stellvertretende Präsident der Übergangsbehörden. Die erste ist der soziale Zusammenhalt. In der Übergangsbehörde gibt es die Plattform, gibt es Staatsbeamte, die Vertreter der CMA. Das ist kein Zufall. Solange die Menschen nicht die gleiche Sprache sprechen, solange die Menschen sich nicht einigen, kann es keine Entwicklung, kann es keine Sicherheit geben.“
(…)
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2. Die Einsetzung der Übergangsbehörden in Gao und Ménaka
RFI – 02.03.2017 17:29
In Mali ist nach Kidal am Dienstag die Einsetzung der Übergangsbehörden am heutigen Freitag in Gao sowie in Ménaka vorgesehen. Und die Zeremonie wird auch stattfinden.
Die offizielle Delegation landete am frühen Nachmittag in Ménaka, einer ganz neuen Region. In Ménaka, keine Unstimmigkeit, keine wesentlichen Probleme. Die Unterzeichnerparteien des Abkommens hatten sich über die Vertreter geeinigt. Und die Bevölkerung insgesamt steht diesen weitgehend positiv gegenüber.
Der Konvoi der offiziellen Delegation reist unter schärfster Überwachung: mehrere gepanzerte UNO-Fahrzeuge, mehrere gepanzerte Fahrzeuge auch der französischen Barkhane-Truppe, und Pick-ups mit malischen Soldaten.
Nach der Zeremonie in Ménaka muss die Delegation per Hubschrauber nach Gao weiterreisen, wo es nicht die gleiche Situation ist, denn noch am Donnerstag, hatten bewaffnete Männer den Regionalrat, die Regionalversammlung von Gao, gestürmt, um sich der Einsetzung der Übergangsbehörden zu widersetzen. A priori wurde eine Einigung erzielt. Gao steht daher immer noch auf dem Flugplan, und die Delegation sollte am späten Nachmittag dort sein.
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3a. Einsetzung der Übergangsbehörden in Gao umstritten
RFI – 02-03-2017 15:27
Malis Übergangsregierung wurden in Kidal im Norden Malis installiert. An diesem Donnerstag, 2. März sollten sie in Gao und Menaka umgesetzt werden. Aber nichts ist weniger sicher, zumindest für Gao, da politisch-militärische Bewegungen sich dagegen stellen, indem sie militärisch Orte der Macht besetzen.
Die CMFPR2 (Koordination der Bewegungen der patriotischen Kräfte und Widerstände Nr.2), eine politisch-militärische Gruppe, besetzt seit Dienstag die Regionalversammlung von Gao mit ca. einem Dutzend bewaffneter Männer, die den Staatsbeamten den Zugang verwehren. Ein Gewaltstreich …
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3b. Blockade in Gao beendet, Einsetzung der Übergangsbehörden
RFI – 02-03-2017 à 23:58
In Gao entspannte sich die Lage erst am späten Vormittag dank der Bemühungen der Regierungsvermittlung. Die bewaffneten Männer, die den Regionalrat besetzt hielten, räumten schließlich das Feld….
Die politisch-militärischen Gruppen, die sich diesen Übergangsbehörden widersetzt haben, waren schließlich erfolgreich. CPA, CJA, MSA, CMFPR2, alle bekommen einen Platz in den verschiedenen Ausschüssen im Zusammenhang mit dem Friedensabkommen, insbesondere im Zusammenhang mit DDR (Entwaffnung, Demobilisierung, Wiedereingliederung => siehe Kasten) und den gemischten Patrouillen.
Die Blockade dauerte fast drei Tage in Gao. Djibrila Maïga, der neue Präsident der Übergangsbehörden, sagt unmissverständlich, man müsse nun jeden zu Wort kommen lassen: „Sie alle haben mit mir die Spannungen rund um die Einsetzung der Übergangsverwaltung erlebt, Islamrat von Gao, der traditionelle Chef von Gao, die Plattform von Gao, die CMA von Gao, Gao Lama, die die in Gao patrouillieren, jeder hat dafür gearbeitet und arbeitet weiterhin für das Glück von Gao. Die Vorgehensweisen sind sicherlich unterschiedlich, aber das Ziel bleibt das gleiche für uns alle. Deshalb werden wir allen zuhören, um die Ansichten und Erwartungen aller zu berücksichtigen, um unsere Mission erfolgreich durchzuführen.“
Aber sofort werden Stimmen laut. „Es ist wie ein Spielfeld, auf dem sie uns verschieben“ sagt ein Mitglied der Plattform. „Übergangsbehörden einzusetzen ist gut, aber sie müssen jetzt die Mittel für ihre Arbeit an die Hand bekommen.“
In Ménaka macht das Wasser dem neuen Präsidenten Sorge. Es gibt nur einen Wasserturm für die ganze Stadt, Wasser beginnt bereits zu fehlen, und dies ist erst der Anfang der Trockenzeit.
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Es gibt auch Stimmen, die das für einen Ausverkauf des Staates halten und das Gespenst einer neuen Rebellion heraufbeschwören. Haben sie Recht?
Installation des autorités intérimaires : La fin du suspens, aujourd’hui ?
Le Matinal – 28 Fév 2017
(…)
C’est donc à juste raison qu’un confrère de place estime que : « L’installation des Autorités Intérimaires officialiserait en quelque sorte leur mainmise sur les localités placées sous leur autorité et par voie de conséquence, ils pourraient non seulement s’en donner à cœur joie au trafic de drogue et autres activités illicites, mais aussi ils pourraient avoir les coudées franches pour donner le gîte et le couvert à leurs complices que sont les groupes terroristes.
C’est d’ailleurs à juste raison que bon nombre d’observateurs ne s’embarrassent pas de soutenir que ‘’l’installation des Autorités Intérimaires dans les régions du septentrion malien, n’est rien d’autre qu’une prime à la partition du pays’’. En tout cas le moins que l’on puisse dire est que, les populations, dans la plupart des localités concernées par l’installation des autorités intérimaires, ne s’accommodent pas du tout avec cette disposition de l’accord d’Alger, ou plus exactement, elles rejettent catégoriquement le procédé par lequel les membres de ces organes des collectivités territoriales sont nommés par le gouvernement ». …En lire plus
Une autre opinion plus favorable:
Mohamed Ag Erlaf, Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Réforme de l’Etat

L’Officiel – 8 Mar 2017
A force de persévérance, il a réussi à installer (la plupart) des présidents des Autorités intérimaires des régions nord, donnant ainsi un nouveau coup d’accélérateur à la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la réconciliation au Mali. Depuis plus d’un an, l’installation de ces autorités intérimaires était devenue le principal blocage qui retardait l’évolution du processus, notamment l’opérationnalisation des patrouilles mixtes et le démarrage véritable du DDR.
L’intronisation (pardon, l’installation) de ces autorités intérimaires, malgré les soubresauts, est un grand coup que vient de réussir le ministre Ag Erlaf. Qui ne doit pas s’arrêter en si bon chemin ; En effet, installer ces autorités dans leur fonction, est une chose, mais le respect, par elles, de la souveraineté de l’Etat, de sa forme unitaire, sa laïcité, en est une autre. Le ministre Ag Erlaf doit donc aller jusqu’au bout et amener toutes les parties au respect des autres engagements contenus dans l’accord, notamment le retour des services sociaux de base, le retour des réfugiés, la remontée des forces de défense (reconstituées) sur toute l’étendue du territoire, l’organisation des patrouilles mixtes….
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