FORTSCHRITTE IN RICHTUNG FRIEDEN UND VERSÖHNUNG – L’Etat malien réintègre progressivement la ville de Kidal

Diese Meldung würde zu den positiven Nachrichten gehören, wenn es nicht doch wieder anders gekommen wäre. Siehe Kommentar

1. Der malische Staat gliedert nach und nach Kidal, die Rebellenstadt, wieder ein
RFI – 08.10.2015
Zum ersten Mal seit Mai 2014, als Kidal in die Hände der Tuareg-Rebellion fiel, hält sich eine offizielle malische Delegation in dieser Stadt auf. Das Ziel dieser Mission aus Bamako, am Dienstag dem 6. Oktober eingetroffen, ist es, die Bedürfnisse der Menschen bezüglich der sozialen Grundversorgung einzuschätzen.
2. Die Schulen werden in Kidal am 19. Oktober wieder öffnen
Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 14. Oktober 2015
Die technische Bewertungsmission für die Rückkehr der Verwaltung in den Norden kündigte die Wiederaufnahme der Schule in Kidal am 19. Oktober an. Eine Wiedereröffnung der Klassen trotz logistischer Schwierigkeiten und Personalmangels…Laut dem Amt der UN für die Koordinierung humanitärer Angelegenheiten, OCHA, waren 454 Schulen in mindestens 60 Gemeinden der Regionen Gao, Kidal, Mopti, Timbuktu und Ségou in den Jahren 2014 und 2015 nicht in der Lage, regelmäßigen Unterricht zu erteilen.

DEUTSCH (VON MIR ETWAS VERBESSERTE GOOGLE-ÜBERSETZUNG) WEITER UNTER DEM ORIGINAL

1. L’Etat malien réintègre progressivement Kidal la rebelle
RFI – 08.10.2015
Pour la première fois depuis mai 2014, date à laquelle Kidal est tombée aux mains de la rébellion touarègue, une délégation officielle malienne séjourne dans cette localité. L’objectif de cette mission arrivée mardi 6 octobre de Bamako est d’évaluer les besoins des populations en matière de services sociaux de base.

Ce n’est pas encore le retour de l’Etat malien à Kidal, mais c’est incontestablement un nouveau signe de décrispation. La mission d’évaluation en matière de besoins de services sociaux de base qui a quitté Bamako a été chaleureusement accueillie mardi 6 octobre à Kidal par des délégués de la rébellion de la Coordination des mouvements de l’Azawad.
Accueilli, mais également logé par les mêmes r’ont pas véritablement ouvert leurs portes, laissant de nombreux enfants non scolarisés. L’Objectif de l’Etat est d’aider à l’ouverture des classes avant la fin du mois d’octobre.
Autre évaluation en cours sur le terrain, les besoins en matière de santé. Seulement quelques centres médicaux sont ouverts. Une grave carence dans un contexte de mortalité infantile élevée et alors qu?il faut pouvoir faire face à d’éventuelles épidémies.
L’Etat malien entend également intervenir en matière d’énergie. Depuis plus d’un mois, Kidal la rebelle est plongée dans le noir. Le groupe électrogène qui alimente la ville est en panne. Il est question d’installer deux autres groupes d’environ 750 kW.
© 2015 RFI

2. Les écoles vont rouvrir à Kidal le 19 octobre
Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 14 oct 2015
Rassemblés par Maliki
La mission d’évaluation technique pour le retour de l’administration dans le nord a annoncé la reprise de l’école à Kidal le 19 octobre prochain. Une réouverture des classes qui aura lieu en dépit des difficultés logistiques et de personnel…
Selon OCHA cité par Studio Tamani, 454 écoles dans au moins 60 communes des régions de Gao, Kidal, Mopti, Ségou et Tombouctou n’ont pas pu fonctionner normalement en 2014 et 2015. Certaines sont fermées depuis le début de la crise en 2012, et d’autres l’ont fait suite à la dégradation de la situation sécuritaire cette année. C’est le cas à Nampala et à Tenenkou.
Dans la région de Kidal, le personnel de l’administration scolaire est absent et aucune école n’est officiellement ouverte. Dans certaines zones touchées par le conflit, les enseignants, même lorsqu’ils sont présents, ne travaillent pas de peur de représailles.
Dans les 3 régions du Nord, on estime les déficits en enseignants à près de 400. A Kidal les efforts de sensibilisation des organisations humanitaires ont déjà commencé à porter leurs fruits. Deux écoles occupées par les groupes armés à Tessalit ont été libérées. A ce jour, cinq établissements scolaires demeurent occupés par les groupes armés dans le Nord.
Pour certains responsables de la Coordination des mouvements armés, les récentes missions dans la région de Kidal sont « un signal », et « une volonté exprimée » des deux mouvements à s’inscrire dans la dynamique de la paix et de la réconciliation. Selon eux, « la priorité d’un retour à la paix, reste l’éducation ».
(…)
Pour la Plateforme, « ce qui se passe dans le processus est la suite logique des prises de contact et concertations qui ont eu lieu à Bamako avec des responsables de la CMA ». Selon Ibrahim Diallo l’un des responsables de la Plateforme, toujours dans l’émission « Grand Dialogue, « Pour une fois, je pense que les fils du Nord se sont mis, d’ailleurs, au dessus de l’accord de paix, en décidant de se retrouver sans le protocole habituel , c’est à dire sans la médiation, sans les forces d’interposition, pour discuter entre frères de leurs problèmes et des solutions à apporter pour une bonne vie. C’est plus qu’une décrispation. Ce sont les enfants d’une même famille qui se retrouvent et qui élaborent les règles au sein de leurs familles pour une vie meilleure. Cela surprend peut-être ceux qui ne sont pas au fait des choses, mais nous qui vivons ensemble ici Bamako, nous savons que les signaux sont partis de Bamako et se sont transportés sur le terrain à Anefis. Donc, ce qui se passe à Anefis n’est qu’une suite logique des événements qui ont eu lieu à Bamako.
Pour ce qui concerne la situation sur le terrain : l’école, les services sociaux de base, l’eau, la santé, etc. Tout ce qui manque, le gouvernement est en train d’aller dans le bon sens. C’est le cas même des enfants maliens, quelque soit ce qui est advenu, ils ne méritent pas de rester comme ça ».
© 2015 L’Indicateur du Renouveau

1. Der malische Staat gliedert nach und nach Kidal, die Rebellenstadt, wieder ein
RFI – 08.10.2015
Zum ersten Mal seit Mai 2014, als Kidal in die Hände der Tuareg-Rebellion fiel, hält sich eine offizielle malische Delegation in dieser Stadt auf. Das Ziel dieser Mission aus Bamako, am Dienstag dem 6. Oktober eingetroffen, ist es, die Bedürfnisse der Menschen bezüglich der sozialen Grundversorgung einzuschätzen.
Das ist noch nicht die Rückkehr des malischen Staates nach Kidal, aber es ist zweifellos ein neues Zeichen der Entspannung. Die Delegation wurde herzlich durch Delegierte der Rebellen der Koordination der Bewegungen des Azawad (CMA).
Nicht nur aufgenommen, sondern auch von den gleichen Rebellen untergebracht. Das Ambiente ist entspannt und die Arbeit hat begonnen. Seit 2012 haben die Schulen der Stadt nicht wirklich ihre Pforten geöffnet, so dass viele Kinder nicht zur Schule gingen. Das Ziel des Staates ist es, bei der Wiederaufnahme des Unterrichts vor Ende Oktober zu helfen.
Eine andere vor Ort laufende Auswertung betrifft die Gesundheitsfürsorge. Nur wenige medizinische Zentren sind offen. Ein schwerwiegender Mangel besonders im Kontext einer erhöhten Kindersterblichkeit, und wenn man evtl. auftretende Epidemien verhindern will.
Die malische Regierung will auch auf dem Gebiet der Energie intervenieren. Seit mehr als einem Monat ist die Stadt in Dunkelheit getaucht. Der Generator, der die Stadt beliefert, ist defekt. Zwei Generatoren von etwa 750 Kilowatt sollen installiert werden.
© 2015 RFI

2. Die Schulen werden in Kidal am 19. Oktober wieder öffnen
Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 14. Oktober 2015
Von Maliki zusammengestellt
Die technische Bewertungsmission für die Rückkehr der Verwaltung in den Norden kündigte die Wiederaufnahme der Schule in Kidal am 19. Oktober an. Eine Wiedereröffnung der Klassen trotz logistischer Schwierigkeiten und Personalmangels…
Laut dem Amt der UN für die Koordinierung humanitärer Angelegenheiten, OCHA, von Studio Tamani zitiert, waren 454 Schulen in mindestens 60 Gemeinden der Regionen Gao, Kidal, Mopti, Timbuktu und Ségou in den Jahren 2014 und 2015 nicht in der Lage, regelmäßigen Unterricht zu erteilen. Einige blieben seit dem Beginn der Krise im Jahr 2012 geschlossen …
In der Region Kidal fehlt das Personal der Schulverwaltung, und keine Schule ist offiziell geöffnet. In einigen vom Konflikten betroffenen Bereichen arbeiten die Lehrer, auch wenn sie am Ort sind, aus Angst vor Repressalien nicht.
In den 3 nördlichen Regionen wird das Defizit an Lehrkräften auf fast 400 geschätzt. In Kidal haben die Bemühungen der humanitären Organisationen Lehrer bereits begonnen, Früchte zu tragen. Zwei Schulen in Tessalit, die von bewaffneten Gruppen besetzt waren, wurden freigelassen. Bis heute bleiben fünf Schulen von den bewaffneten Gruppen im Norden besetzt …
Für einige Führer der CMA sind die jüngsten Missionen in der Region Kidal „ein Signal“ und „eine ausdrückliche Bereitschaft“ der beiden Bewegungen, in die Dynamik des Friedens und der Versöhnung einzusteigen. Sie sagten, „die Priorität einer Rückkehr zu Frieden bleibt die Bildung.“
(…)
Für die Plattform ist „das, was jetzt passiert, die logische Fortsetzung der Kontakte und Konsultationen, die wir in Bamako mit den der CMA hatten.“ Nach Ibrahim Diallo, einem der Verantwortlichen der Plattform, auch in der Sendung „Großer Dialog“ (im Studio Tamani): „Ich glaube, dass die Söhne Nordens nun zusammengekommen sind im Sinne des Friedensabkommens, durch ihre eigene Entscheidung, ohne das übliche Protokoll, also ohne Vermittlung, ohne die Kräfte der Zwischenschaltung, um unter Brüdern über ihre Probleme zu diskutieren und über Lösungen für ein gutes Leben. Das ist mehr als eine Entspannung. Dies sind die Kinder einer Familie, die zusammen die Regeln in ihren Familien entwickeln für ein besseres Leben. Dies kann einige überraschen, aber wir, die wir hier in Bamako zusammenleben, wissen, dass die Signale von Bamako ausgingen und nach Anefis transportiert wurden. Also, was in Anefis passiert, ist eine logische Folge von Ereignissen, die in Bamako stattgefunden haben.
In Bezug auf die Situation vor Ort: Schule, soziale Grundversorgung, Wasser, Gesundheitsversorgung, etc. Bei allem, was fehlt, ist die Regierung dabei, in die richtige Richtung zu gehen. Dies ist der gleiche Fall bei den malischen Kindern, egal, was passiert ist, sie verdienen nicht, so zu bleiben.“
© 2015 L’Indicateur du Renouveau

Ein Gedanke zu „FORTSCHRITTE IN RICHTUNG FRIEDEN UND VERSÖHNUNG – L’Etat malien réintègre progressivement la ville de Kidal

  1. Warum die Kinder in Kidal immer noch auf die Schule verzichten müssen
    (Teilübersetzung s. unten)

    Annoncée pour aujourd’hui : Les enseignants boycottent la rentrée des classes à Kidal
    Bamako (L’Indicateur du Renouveau) – 19 oct 2015
    Par Maliki
    C’est aujourd’hui que doivent rouvrir les classes à Kidal. L’information a été donnée la semaine dernière par la mission d’évaluation technique pour le retour de l’administration dans le Nord dont une délégation a passé une dizaine de jours en 8e région. On dit que cette rentrée devra se faire en dépit d’énormes problèmes logistiques et d’un important déficit d’enseignants. Et Patatras, les enseignants refusent de suivre et le syndicat national des enseignants qualifie de « rentrée politique ».
    Le gouvernement et la Coordination des mouvements de l’Azawad ont convenu la semaine dernière de la date d’aujourd’hui 19 octobre pour la rentrée des classes dans la région de Kidal. Mais le Syndicat national des enseignants s’oppose à cette rentrée qu’elle qualifie de « rentrée politique ». Selon les responsables du syndicat, « les conditions sécuritaires sont loin d’être réunies » pour les militants. Les enseignants exigent « la présence des forces de l’ordre et de sécurité, la réhabilitation des écoles et des locaux l’administration scolaire ».
    Pourtant, la CMA, qui contrôle la zone depuis 2012, rassure que « toutes dispositions sécuritaires sont prises » pour la reprise de l’école dans la région. « Cette date du 19 octobre a été proposée et acceptée par tous. Pour l’instant, la date du 19 est maintenue, je peux vous assurer que partout où la CMA est présente, elle ne ménagera aucun effort pour honorer les engagements pris dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord, y compris la réouverture des écoles et la sécurisation des enseignants », a déclaré Almou Ag Mohamed, porte-parole de la CMA, joint par la rédaction de Studio Tamani.
    Hier matin à Kidal, une réunion des autorités locales et des responsables scolaires a eu lieu sur la question. Pour de nombreux observateurs, la rentrée scolaire d’aujourd’hui à Kidal, a, avant tout, « une valeur symbolique ».

    « Toutes les dispositions sont prises pour la réussite de cette rentrée », a déclaré Koïna Ag Ahamadou, Chef de la division vie scolaire de la Direction Nationale de l’enseignement secondaire Général. « J’ai participé ce matin (NDLR : hier matin) à une réunion avec la commission d’organisation du lancement de la réouverture des écoles à Kidal avec la CMA et certains partenaires. Au cours de la réunion, nous avons fait le point sur l’organisation. Les comités de gestion sont en train de préparer les classes. Les directeurs des écoles (qui seront visitées) sont désignés. Les enseignants qui seront en classe sont désignés. Ils sont connus. Le programme de la visite est élaboré et partagé avec les partenaires. La mobilisation par la CMA est en cours pour que le lancement de demain soit une réussite. Demain sera le lancement de la réouverture des écoles dans la région de Kidal. Les écoles ouvriront à Tine-Sako à Abeybarra, à Tessalit et à Kidal. Ça c’est les quatre cercles de la région de Kidal. La rentrée effective ne pourra pas se faire, parce qu’il faudra que toutes les conditions soient réunies partout. Je ne suis pas sûre d’avoir tous les enseignants pour rouvrir toutes les écoles dès demain. Je dis que les écoles qui pourront rouvrir demain avec les ressources disponibles tant matériellement que sur le plan ressources humaines, vont rouvrir, et les autres rouvriront progressivement. A partir de demain, aucun obstacle n’existera pour empêcher la réouverture des écoles ».

    Le Syndicat national des enseignants s’oppose à cette rentrée qu’elle qualifie de « rentrée politique ». Selon ses responsables « aucun enseignant ne sera à Kidal tant que la sécurité n’est pas garantie par l’Etat du Mali ». Les enseignants exigent la présence des forces de l’ordre et de sécurité, la réhabilitation des écoles et des locaux l’administration scolaire dans la région « avant toute rentrée ».
    Maouloud Benkatra, secrétaire général du Syndicat national de l’éducation et de la culture, SNEC, a confié à nos confrères de Studio Tamani,« Nous avons été catégoriques. Je parle au nom du syndicat national de l’éducation et de la culture. Nous ne pouvons en aucun cas engager les enseignants pour donner des cours dans la région de Kidal demain. Pour nous, la rentrée de demain est une rentrée politique. Elle est loin d’être une rentrée scolaire ».
    Et pour Benkatra, ce n’est pas une question de versement de prime promise aux enseignants qui exerceront dans ces localités. « Nous, nous ne voyons pas la rentrée en termes de prime. Nous voyons la rentrée en termes de sécurité des enseignants. Les primes ne sont que de l’argent qu’on donne, mais la vie des enseignants compte beaucoup plus que l’argent qu’on va leur donner. Les conditions sécuritaires ne sont pas du tout réunies pour permettre à nos militants d’aller sur place. Nous ne mettons pas l’argent en avant, nous mettons en avant leur vie d’abord avant l’argent. Nous avons vu que les enseignants ont fait plus que des sacrifices. Nous avons vu que certains d’entre eux ont été blessés. Depuis qu’ils ont été blessés, nous n’avons vu la présence d’aucune structure étatique. Donc, il n’y a pas de sacrifice plus que ça. Tant que les structures de souveraineté ne sont pas présentes à Kidal, les enseignants ne peuvent pas aller donner les cours ».
    On espère que les solutions seront trouvées aux doléances des enseignants pour que les enfants de la région de Kidal reprennent le chemin des classes après trois ans de disette.
    (c) 2015 L’Indicateur du Renouveau

    Angekündigt für heute: Lehrer boykottieren den Schulbeginn in Kidal
    (…)Die Nationale Lehrergewerkschaft stellt sich gegen diesen Schulbeginn, den sie als „politisch“ bezeichnet. Nach ihren Verantwortlichen „wird kein Lehrer in Kidal anfangen, solange seine Sicherheit nicht durch den Staat Mali garantiert wird.“(…)
    Maouloud Benkatra, Generalsekretär der Nationalgewerkschaft für Bildung und Kultur, SNEC, erzählte unseren Kollegen bei Studio Tamani: „Wir waren unerbittlich. Ich spreche im Namen der Gewerkschaft. Wir können nicht in irgendeiner Weise die Lehrer in der Region Kidal dazu auffordern, morgen Unterricht zu machen. Für uns ist dieser Schulbeginn von morgen … weit von einem tatsächlichen Schuljahresbeginn entfernt. “
    Und laut Benkatra ist dies kein Problem der versprochenen Prämienzahlung für Lehrer, die in diesen Ortschaften unterrichten würden. „Wir sehen wir nicht den Schulbeginn in Bezug auf die Prämie. Wir sehen den Schulbeginn in Bezug auf die Sicherheit der Kollegen. Die Prämien sind nur Geld, das man gibt, aber das Leben der Lehrer ist viel mehr wert als das Geld, das man ihnen geben wird. Die Sicherheitsbedingungen sind in keiner Weise erfüllt, um unseren Kollegen zu ermöglichen, vor Ort zu gehen. … Wir haben gesehen, dass die Lehrer viele Opfer gebracht haben. Wir haben gesehen, dass einige von ihnen verletzt wurden. Seit sie verletzt wurden, haben wir keinerlei Staatsstruktur gesehen. So sollen sie keine weiteren Opfer mehr bringen. Solange es in Kidal keine souveränen Strukturen gibt, können die Kollegen nicht unterrichten. “
    Es ist zu hoffen, dass Lösungen für die Anliegen der Lehrer gefunden werden, damit die Kinder der Region Kidal endlich wieder zur Schule gehen können nach drei Notjahren.

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