…….FORTSCHRITT IN AFRIKA: "KLEINE" GROSSE FRAUEN – Portraits – Chefs d’entreprises et femmes d’influence : témoignages

3 portraits en francais, deutsche (wie immer verbesserte Google-)Übersetzung unten

Depuis 2015 il y a au Mali le
Réseau des Jeunes Femmes Leaders du MALI
– lancement le 30 decembre 2014 à Bamako
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Source fr

Chefs d’entreprises et femmes d’influence : témoignages

Candide Bamezon, présidente de l’association des femmes chefs d’entreprises.

„Une nouvelle génération de femmes entrepreneurs“

Candide Bamezon -Legue, Togo – secteur de l’artisanat
55 ans – 3 enfants

„Après avoir travaillé pendant 22 ans dans des organisations internationales, j’ai décidé de revenir dans mon pays et de m’y installer durablement avec ma famille. J’ai alors fondé, il y a 10 ans, une entreprise de créations artisanales. Je fais travailler 20 à 25 artisans. Des forgerons, des potiers, des ébénistes… L’idée étant de produire des objets modernes à partir de nos traditions et notre savoir-faire.
A l’ENA, je viens acquérir des techniques de management pour mieux gérer mes équipes. Quand on est une femme, ce n’est pas simple d’imposer une certaine autorité aux hommes.
Les Togolaises sont traditionnellement des femmes entrepreneurs. Elles gèrent plusieurs petites activités pour pourvoir répondre aux besoins de leur famille. Mais elles ont en général un niveau d’éducation assez faible et sont cantonnées au secteur informel.
Au sein de l’association des femmes chefs d’entreprises que je préside, notre objectif est de faire naître une nouvelle génération de femmes entrepreneurs. Des femmes qui accèdent à un bon niveau d’éducation, qui initient de nouvelles techniques de management et qui s’imposent dans le secteur formel. Mais il reste beaucoup à faire.
LOBBYING
En ce moment, nous faisons un gros travail de lobbying pour permettre aux femmes chefs d’entreprise de décrocher des marchés publics. Pour l’instant, elles sont inexistantes dans ce secteur réservé aux hommes. Nous plaidons pour la mise en place de quotas. On souhaiterait que 10 à 15 % des marchés publics soient réservés aux entreprises tenues par des femmes. Mais de notre côté, il faut que l’on prépare les Togolaises à ces nouveaux défis.
Au Togo, il existe encore de nombreux freins à l’entreprenariat féminin. Par exemple, une femme a pour obligation de montrer son certificat de mariage pour créer son entreprise. Comme s’il fallait être mariée pour savoir bien gérer son affaire ! “

„Vous ne paraissez pas crédible“

Esther Diendere Rambe
Burkina Faso – secteur agroalimentaire
47 ans – 3 enfants
„Biologiste de formation, pendant plus de 20 ans, j’ai enseigné en collège et lycée. C’est en voulant expliquer la transformation du lait à mes élèves que j’ai eu l’idée de monter une „fromagerie pédagogique“. Dix ans plus tard, c’est devenu une véritable entreprise de transformation de produits laitiers. Nous produisons aussi des jus à partir de fruits locaux et nous conditionnons l’eau en sachet.
MODERNISER
Aujourd’hui, je voudrais moderniser l’unité, investir dans du nouveau matériel, embaucher un peu plus, et parvenir à vendre au-delà du Burkina Faso et pourquoi pas en Europe ! Je mise notamment sur nos jus de fruits très originaux.
Mais en tant que femme, ces projets ne sont pas simples à mener. Vous ne paraissez pas crédible. C’est comme si l’investissement que j’envisage de faire serait au-dessus de mes capacités. J’ai donc beaucoup de difficultés à trouver des sources de financement. J’ai besoin de garanties solides. D’ailleurs, pour obtenir les crédits qui m’ont permis de lancer la fromagerie, j’ai dû demander à mon mari qu’il m’autorise à utiliser le titre foncier de la famille.
Cette formation de management à l’ENA arrive vraiment au bon moment pour moi !“

„Une pépinière de 4 à 5 salariés“

Justine Diffo Tchunkam
Cameroun – secteur des nouvelles technologies
45 ans – 4 enfants
„Enseignante chercheur en droit, j’ai identifié un vrai besoin dans le milieu universitaire camerounais : l’accès à la documentation. Nos bibliothèques sont peu fournies. Elles n’ont quasiment pas de livres récents. Il faut prendre l’avion et partir à l’étranger pour accéder à une documentation de qualité.
En 2003, j’ai eu l’idée de collecter les mémoires et les thèses soutenues dans nos universités pour créer une base de données. Avec l’aide de collègues, j’ai créé un réseau : le Service d’étude et de recherche virtuelle. Mais nous nous heurtons à de nombreux obstacles.
ECONOMIE DE LA CONNAISSANCE
D’abord les gens ne comprennent pas l’intérêt d’investir dans l’économie de la connaissance. Or, c’est un projet qui demande de l’argent. Par ailleurs, nous avons un gros souci technologique. Nous avons besoin d’une connexion Internet haut débit avec une bande passante stable pour pouvoir télécharger de gros fichiers. Or, au Cameroun, nous en sommes loin.
Aujourd’hui, je pense transformer ce projet associatif en une véritable entreprise avec la mise en place d’une pépinière de 4 à 5 salariés. L’idée est de faire payer l’accès aux informations que nous aurons rassemblées et éditées sur le net. Nous ciblons le monde universitaire mais aussi les professionnels du droit comme les avocats ou notaires.
bannerwomen Au Cameroun, la procédure pour fonder une société a été allégée et reste accessible aux femmes. Par contre les banquiers restent méfiants. Nous sommes pour eux un „mauvais risque“. Ils ont peur que les femmes mélangent trop l’émotion et le professionnel et que la maternité ralentisse leur activité. Ils réclament toujours plus de garanties. J’ai donc dû demander de l’aide à mon mari qui dispose d’un salaire beaucoup plus élevé que le mien ! “

Propos recueillis par Camille SARRET
29 juin 2010

Unternehmensleiterinnen und einflussreiche Frauen: Zeugnisse

1. Candide Bamezon, Präsidentin der Vereinigung von Unternehmerinnen. „Eine neue Generation von Frauen als Unternehmerinnen“

Candide-Bamezon, Leguede, Togo – Handwerksbereich – 55 Jahre – 3 Kinder „Nach 22 Jahren Arbeit in internationalen Organisationen entschied ich mich, in mein Land zurückzukehren und mich dauerhaft niederzulassen mit meiner Familie. Ich gründete vor 10 Jahren ein Unternehmen des Handwerks. Ich arbeite mit 20 bis 25 Handwerkern. Schmiede, Töpfer, Tischler … Die Idee ist, moderne Objekte aus unserer Tradition und unserem Know-how zu produzieren. Bei ENA habe ich gerade Management-Techniken zur besseren Verwaltung meines Teams gelernt. Wenn du eine Frau bist, ist es nicht einfach, einige Aufgaben hängen an Männern. Togoische Frauen sind traditionell unternehmerische Frauen. Sie verwalten mehrere kleine Aktivitäten, um die Bedürfnisse ihrer Familien zu erfüllen. Aber sie haben im Allgemeinen ein ziemlich niedriges Bildungsniveau und sind auf den informellen Sektor beschränkt. Innerhalb der Vereinigung von Unternehmerinnen, deren Vorsitz ich innehabe, ist unser Ziel, eine neue Generation von Frauen als Unternehmerinnen zu schaffen. Frauen, die eine gute Ausbildung erlangen, die neue, notwendige Management-Techniken durchsetzen, im formellen Sektor. Aber es bleibt noch viel zu tun. LOBBYING Im Moment machen wir eine große Lobbyarbeit, um Unternehmerinnen zu ermöglichen, öffentliche Aufträge zu gewinnen. Denn jetzt existieren sie nicht in diesem Bereich für Männer reserviert. Wir befürworten die Einführung von Quoten. Wir möchten 10 bis 15% der öffentlichen Aufträge für die Unternehmen von Frauen geführt. Aber auf unserer Seite müssen wir die togoischen Menschen auf diese neuen Herausforderungen vor bereiten. In Togo gibt es noch viele Hindernisse für die Unternehmertätigkeit von Frauen. Zum Beispiel wird eine Frau verpflichtet, ihre Heiratsurkunde zeigen, um ein Unternehmen zu gründen. Als ob verheiratet zu sein lehren kann, richtig zu managen.

„2. Sie scheinen nicht glaubwürdig“

Esther Diendéré Rambe, Burkina Faso – Agribusiness 47 Jahre – 3 Kinder
„Biologin von Beruf, unterrichtete ich seit über 20 Jahren im College und High School. Als ich versuchte, meinen Schülern die Verwandlung von Milch zu erklären, hatte ich die Idee der Gründung einer „Käse-Schule“. Zehn Jahre später wurde es zu einem echten Geschäft der Milchverarbeitung. Wir produzieren auch Saft aus heimischen Früchten und wir füllen Wasser in Beuteln. MODERNISIEREN Heute möchte ich die Firma aufrüsten, in neue Anlagen investieren, und erreichen über den Verkauf von Burkina Faso hinaus erstrecken und warum nicht in Europa! Ich baue auf unseren besonderen, sehr originellen Fruchtsaft. Aber für eine Frau sind diese Projekte nicht einfach umzusetzen. Sie scheinen nicht glaubwürdig. Es ist als ob die Investoren immer meine Fähigkeiten in Zweifel ziehen würden. Also habe ich große Schwierigkeiten in punkto Finanzierungsmöglichkeiten. Ich brauche solide Garantien. Darüber hinaus muss ich für Kredite, um die Käserei zu erhalten, meinen Mannum Titel der Familie bitten. Diese Management-Ausbildung an der ENA wirklich geschieht zur richtigen Zeit für mich! “

3. „Eine Sandkiste mit 4-5 Arbeitnehmerinnen“

Justine Diffo Tchunkam Kamerun – Sektor der neuen Technologien – 45 Jahre – 4 Kinder „Als Gechichtslehrerin und -forscherin identifizierte ich einen echten Bedarf in der akademischen Welt in Kamerun: Zugriff auf die Dokumentation. Unsere Bibliotheken sind knapp ausgestattet, sie haben praktisch keine aktuellen Bücher. Man muss ins Ausland fliegen für den Zugriff auf qualitativ hochwertige Dokumentationen. Im Jahr 2003 hatte ich die Idee, Aufsätze und Dissertationen in unseren Universitäten zu sammeln, um eine Datenbank zu erstellen. Mit der Hilfe von Kollegen habe ich ein Netzwerk gebaut: den virtuellen Dienst des Studiums und der Forschung. Aber wir stehen vor vielen Hindernissen. WISSENSWIRTSCHAFT Auf den ersten Blick verstehen Menschen nicht die Vorteile von Investitionen in die wissensbasierte Wirtschaft. Jedoch ist dies ein Projekt, das um Geld bittet. Darüber hinaus haben wir ein großes Anliegen in punkto Technologie. Wir brauchen eine Breitband-Internetverbindung mit einer stetigen Bandbreite für das Herunterladen großer Dateien. Aber in Kamerun, sind wir weit davon weg. Heute denke ich, dieses assoziative Projekt zu einem echten Betrieb zu machen mit 4-5 Mitarbeitern. Die Idee ist, den Zugang zu Informationen, die auf dem Netz wir gesammelt und veröffentlicht haben, bezahlen zu lassen. (Anmerkung des Blogautoren und Übersetzers: Viel Glück dabei! Fleiss und Qualität helfen nicht, hier muss alles umsonst sein!) Wir zielen auf die akademische Welt, aber auch auf Juristen wie Rechtsanwälte oder Notare. In Kamerun wurde das Verfahren für die Gründung eines Unternehmens für Frauen erleichtert. Aber die Banker bleiben wachsam. Wir sind für sie ein „schlechtes Risiko“. Sie haben Angst, dass Frauen Emotion und Professionelles vermischen und dass Mutterschaft ihre Aktivität verlangsamt. Sie werden noch mehr Sicherheiten verlangen. Also musste ich meinen Mann, der ein viel höheres Gehalt als ich hat, um Hilfe bitten! Interview von Camille Sárrét 29. Juni 2010

3 Gedanken zu „…….FORTSCHRITT IN AFRIKA: "KLEINE" GROSSE FRAUEN – Portraits – Chefs d’entreprises et femmes d’influence : témoignages

    • Ernüchterung:

      Ich habe diesen Eintrag oben hier eingebracht, um
      – die (durch Aktualitäten erzwungene) Unithematik auf der Hauptseite zu durchbrechen
      – aktive afrikanische Frauen erzählen zu lassen,

      Frauen aus der urbanen Mittelschicht.

      Diese Frauen erheben sich allerdings nicht zu einem Kitt, der alles zusammenhält und die afrikanischen Gesellschaften vor einem Chaos rettet.

      Das dichtet die deutsche Reisende Bettina Gaus (laut Deiner und ihrer Buchpräsentation) den neuen afrikanischen Mittelschichten aber an.
      Das alte Lied der „Leistungsträger“ und der allesrettenden Substanz der Gesellschaften.
      Und in Afrika sollen sie aufgrund der familiären Tradition besonders solidarisch sein.

      Wir beide hatten die Debatte schon einmal,
      zwischendurch ist einiges passiert.

      Ich spreche jetzt hier über den für Schwarzafrika zur Zeit beispiellosen Volksaufstand gegen Armut kürzlich in Nigeria:

      Der hatte eine Woche gedauert und war ohne staatliche Repression implodiert.

      Ich gebe meine kleine Bilanz dazu vorweg: Diese gesellschaftstragenden, solidarischen Mittelschichten hatten das dort vollbracht.

      In Nigeria gibt es viele verbal hörbare, aber nicht mobilisierungsfähige zivilgesellschaftliche Organisationen. „Politische Parteien“ existieren dort, wie vielerorts auf der Welt auch, aber haben ausserhalb der Wahlwoche keine Attraktivität bzw. Mobilisierungsfähigkeit.

      Kleine Gewerkschaften hatten dann die populäre Wut umgemünzt und die ersten Massendemonstrationen organisiert,
      und alle Forderungen der Protestbewegung wären sofort erfüllt worden,
      hätte es dort nicht solche „solidarischen“ Mittelschichten (Gabun) und ihre Organisationen gegeben.
      Die Gewerkschaft im entscheidenden Ölsektor, die nicht die Putzfrauen auf den Plattformen vertritt, sondern gut bezahlte Techniker und Ingenieure, einem guten Teil der Mittelschicht, hätte sofort dafür sorgen können, dass den existenziellen Forderungen des Volkes Rechnung getragen wird.
      Was haben sie getan? Abgewürgt.
      Wo waren die intellektuellen urbanen Mittelschichtler? Abwesend.

      Kenia: 25.000 Krankenschwestern streiken wochenlang und werden kollektiv gefeuert.
      Zitat Artikel:
      …..“Die Ärzte bekommen mehr Belohnungen als wir, während wir alle niederen Aufgaben zu tun haben“, erklärt Jane, sie „kommen nur drei Stunden pro Tag und gehen“.
      „Wir sind demoralisiert. Alles für Ärzte, nichts für uns“, „doch wenn wir nicht da sind, sind Krankenhäuser geschlossen.“
      Der Streik hat in der Tat ernsthaft gestört das Funktionieren der öffentlichen Krankenhäuser: die Regierung sagt, Patienten werden der Versorgung beraubt, und die kenianische Presse berichtete mehrere Todesfälle.
      „Wir haben niemanden getötet“, protestierte Stanley Nderitu. „Ärzte sind nicht im Streik, so dass, wenn sie arbeiten, sollte niemand sterben.“
      Für Christine, sind diese Vorwürfe die „reine Propaganda“. „Als die Ärzte im Streik (letzten Dezember) waren, arbeiteten wir, Krankenhäuser wurden nicht geschlossen, und kein Patient starb. Warum sollten sie jetzt sterben?“ , so Jane…..

      Wo waren die Ärzte, wo waren die „Afrika vor dem Chaos rettenden“ Mittelschichten da?

      Weg, wie immer und überall.

      Liebe aramata,

      die Reiseerlebnisse, die Bettina Gaus erzählt, sind sicherlich interessant. Würden sie als Reiseerlebnisse verkauft werden, ich würde sie vielleicht sogar empfehlen und verlinken, oder sogar lesen.

      Sie werden aber nicht so verkauft, sondern als politisches Hintergrund- und meinungsbildendes Material, dessen nordischer, „gutmenschlicher“, bildungsbürgerlicher Perspektive ich mich immer widersetzen werde.

      Quellenlink: siehe ganz oben
      Zitat:
      …..Aus dem Klappentext:
      In Afrika leben nur Arme, eine korrupte Elite und Angehörige von Hilfsorganisationen? Ganz falsch. Denn in allen Ländern Afrikas gibt es eine Mittelschicht, Menschen, die uns ähnlicher sind, als wir glauben: Lehrer, Ärzte, Anwälte, Architekten, Journalisten, Tankstellenpächter, Unternehmer. Sie haben die gleichen Wünsche und Sorgen wie wir: eine Karriere, die richtige Schule für die Kinder, mehr Einkommen, eine glückliche Ehe. Sie sind es, die Afrika zusammenhalten und verhindern, dass der Kontinent im Chaos versinkt.
      Für dieses Buch reiste Bettina Gaus, wenn eben möglich mit dem Bus, durch 16 Länder südlich der Sahara -…..

      „Sie sind es, die Afrika zusammenhalten und verhindern, dass der Kontinent im Chaos versinkt.“

      Non.

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  1. Die junge Frau, die in Bamako interviewt wurde, hat sich sicher nicht als Retterin des Kontinents verstanden. Aber sie war mutig, hat sich gegen einige Traditionen durchgesetzt, einzeln und doch ein Beispiel für die jüngere Generation.

    Hier noch ein neues Beispiel für kleine große Frauen:

    Ces chercheuses africaines qui font progresser la science
    Trois Africaines remportent la bourse L’Oreal-Unesco pour la recherche scientifique en 2012

    afrik.com – 30.03.2012
    La Fondation L’Oréal-Unesco récompense chaque année cinq femmes scientifiques pour leurs recherches novatrices. Elle attribue également des bourses à une trentaine de chercheuses pour les aider à mener à bien leurs travaux. Cette année, trois Africaines figurent parmi les lauréates. Elles ont présenté leurs travaux jeudi à Paris. Rencontre.
    La Namibienne Gladys Kahaka, chercheuse en sciences du végétal, la Kényane Peggoty Mutai, docteur en chimie médicale, et la Tunisienne Mounira Hmani-Aifa, docteur en génétique moléculaire humaine, figurent parmi les 35 femmes qui ont remporté en 2012 la bourse de la fondation L’Oréal-Unesco. Les trois scientifiques font figure d’exception en Afrique où les femmes sont sous-représentées dans le domaine de la recherche. C’est avec beaucoup de fierté qu’elles ont présenté leurs travaux jeudi à Paris.

    Gladys Kahaka, Peggoty Mutai et Mounira Hmani-Aifa ont su franchir toutes les barrières qui entravaient leur chemin de femmes scientifiques. Elles incarnent l’espoir pour les jeunes femmes du continent qui souhaitent faire carrière dans la recherche ou dans n’importe quel autre domaine.
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